Le sommet de Vichy, une pastille qui passe mal.


Après l’adoption de Pacte européen sur l’immigration et l’asile lors du sommet de Bruxelles du 16 octobre, la troisième conférence ministérielle européenne sur l’intégration a lieu à Vichy. Plusieurs collectifs voient comme une “provocation” le choix de cette ville, en raison de son passé pétainiste.

“Les Vichyssois d’aujourd’hui ne sont pas les Vichystes d’hier” lance Brice Hortefeux, ministre de l’Immigration. Par ailleurs le conseiller régional d’Auvergne, répond qu’ “il faut mettre fin à l’ostracisme” qui pèse sur la ville. “Le colloque officiel a forcément pour objectif de se concerter entre pays européens pour plus de méfiance à l’égard des sans papiers et instaurer un contrôle strict”ajoute Joe Briant.” Les conditions de venue, d’accueil et de séjour font que la tradition d’accueil de la France s’est muée en politique des soupçons”, a pour sa part déclaré le porte-parole de soutien aux sans-papiers. Qu’Hortefeux fasse une cure d’amaigrissement des immigrés sans papiers à Vichy, c’est un sommet certes, mais de mauvais goût.

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3 commentaires pour “Le sommet de Vichy, une pastille qui passe mal.”

  1. deloire dit :

    A Vichy c’est pour nous faire avaler la pastille

  2. deloire dit :

    oulà facile je n’avais pas vu ton titre…comme quoi nos souvenirs d’enfance nous rameme à la prise de la pastille

  3. nalair dit :

    La prise de la pastille
    en effet voilà un titre révolutionnaire.

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