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Histoire d’un facilitateur révolutionnaire

Lundi 7 avril 2014

Une fois n’est pas coutume, aujourd’hui pas de résultats de la H cup et de la superbe qualification de Toulon face au Leinster Irlandais 29 à 14. En effet aujourd’hui pour bien des hommes c’est une autre actualité qui les intéresse. On se souvient qu’en 1998 le lancement du Viagra a totalement modifié la vision de sa virilité. Il faut tout de même savoir que 600 000 français ont recours à ce type de médicaments destinés à éviter le coup de la panne. Tout le monde sait bien que “L’amour n’attend pas, il faut se saisir de l’instant. Depuis quelques décennies la virilité de l’homme et ses performance ne passe plus uniquement par les terrains de rugby ou de foot, après le match il s’agit de rester toujours aussi performant pour satisfaire la belle séduite dans les gradins. Le psychiatre sexologue Philippe Brenot déclare en souriant : “Qu’il aient 50, 70 …ou 25 ans, l’arrivée du Viagra en 1998 a été une véritable révolution”. S’il le dit, peut-on en douter? Mais voilà, alors que le Viagra est tombé dans le domaine public et que l’on peut se procurer des génériques, aujourd’hui arrive sur le marché un facilitateur révolutionnaire. Mais qu’est-ce donc que ce langage hexagonal pour parler de médicaments soignant les troubles érectiles? Ben il s’agit surtout d’y aller mollo avec les pilules du bonheur qui rectifient quelques anomalie paralysante de la virilité masculine. Alors voilà à ce jour un nouveau facilitateur est mis sur le marché et c’est ça qui est bien plus bandant que de lire le journal l’Équipe en buvant un canon pour oublier. La révolution sur ordonnance se nomme Le Spedra qui parait-il change tout. Moins d’effet secondaire et meilleur starter, à priori c’est trop beau pour être honnête pourtant si l’on croit  l’urologue anthropologue François Guiliano que 64 à 71 %  de ceux qui l’on testé au USA ont eu une performance aboutie dans les 15 min chronos. Mais en creusant le problème on apprend que sans excitation ni désir point de miracle. Ouf nous l’avons échappé belle, rien ne vaut la french touch.