Ils sont nés ou morts un 25 février
Dimanche 25 février 2024
Zahia Dehar
Zahia Dehar née à Ghriss en Algérie1 le 25 février 19922, vivant en France depuis l’âge de dix ans, connue, sous son prénom Zahia, en tant que call-girl. Elle est devenue une personnalité médiatique, créatrice de lingerie, de nationalité française.
Le guitariste espagnol Paco de Lucía, de son vrai nom Francisco Sánchez Gómez, est mort le 25 février 2014 à Cancún au Mexique
Sandrine Kiberlain, née le 25 février 1968 à Boulogne-Billancourt, est une actrice, réalisatrice et chanteuse française. En 1996, elle obtient le César du meilleur espoir féminin pour En avoir, suivi de celui de la meilleure actrice en 2014 pour 9 mois ferme.
Hosni Moubarak, parfois orthographié Hosni Mubarak, de son nom complet Mohammed Hosni Moubarak, transcrit traditionnellement Muhammad Hosnī Sayyid Selaaem Mubārak, né le 4 mai 1928 à Kafr-el-Meselha
François Hadji-Lazaro est un musicien multi-instrumentiste, chanteur, auteur, compositeur, producteur/éditeur musical et acteur français, né le 22 juin 1956 à Paris et mort le 25 février 2023 à Bobigny. Il est une figure marquante du rock alternatif français
Joakim Noah
Joakim Noah, né le 25 février 1985 à New York, est un ancien joueur de basket-ball de nationalités française, suédoise et américaine. Il évolue au poste de pivot et mesure 2,10 m pour 104 kg.
José María Aznar
José María Aznar López, né le 25 février 1953 à Madrid, est un homme d’État espagnol, ancien président du Parti populaire et président du gouvernement durant deux mandats, du 5 mai 1996 au 17 avril 2004.














La complicité d’anciens amants à la ville peut être un atout majeur ou une torture ultime. La partition de l’émoi partagé est tant et tant de fois lue et relue que tout cela sonne bien évidemment juste. Le film, sensible, évoque Sur la route de Madison par sa façon délicate de traiter les amours de deux êtres parvenus à un carrefour de leur vie. Sur la musique et la voix nostalgique de Barbara, le temps s’égraine dans un concert de bons sentiments et rend palpable cet amour naissant aussi inattendu qu’improbable. Avec “Mademoiselle Chambon”, Stéphane Brizé offre un film précis et touchant. “C’est une histoire simple”, précise le cinéaste. Mais qui a-t-il de plus compliqué à rendre que la simplicité ! C’est tout l’art du dépouillement dans une époque où tout est trop. Ce film est à conseiller prioritairement aux contemplatifs, amateurs de films d’action, s’abstenir. La critique a sorti et accordé ses violons pour saluer la performance d’une équipe sans fausses notes.