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Hier c’était la fête

Lundi 22 juin 2009

jack-langA l’origine de la Fête de la Musique, l’idée du musicien Joël Cohen qui travaillait alors pour France Musique. Il voulait que les groupes de musiques jouent le 21 juin au soir, ce qui coïncide le plus souvent avec le premier jour de l’été dans l’hémisphère Nord. Cette idée a été dadaptée par Maurice Fleuret après les élections présidentielles de 1981  et mise en place en France par Jack Lang, alors ministre de la culture. La première édition a lieu le 21 juin 1982 mais ce n’est pas avant le 21 juin 1983 qu’elle fut officiellement déclarée Fête de la Musique. Une manière comme une autre de remplacer les fêtes populaires de la Saint Jean, où un grand feu était allumé toute la nuit du 24 juin, date traditionnelle de fin des plus longs jours de l’année. Ces fêtes qui  ont existé en  France jusque dans les années 1990, ont été supprimées pour des raisons sécuritaires. La Fête de la Musique s’est aujourd’hui internationalisée, dès 1985 en Europe. En moins de quinze ans, elle est reprise dans 110 pays sur les cinq continents et les deux hémisphères, avec plus de 340 villes participantes dans le monde. Cette année Montréal a eu la sienne pour la première fois.

La grande parade des éléphants du PS au cirque Sarkozien

Samedi 28 février 2009

jack-lang

Après Strauss Kann, et le bon docteur Kouchner, voilà que Jack Lang ne reste pas de bois à la demande de Nicolas Sarkozy, pour être l’émissaire très spécial de sa majesté. Raul Castro a “accueilli positivement” l’initiative de Sarkozy et de l’envoi de son émissaire on ne peut plus original. La maison PS a des fuites, ne parlons pas d’Eric Besson qui caracole dans son rôle de ministre de l’émigration encore plus zélé qu’Hortefeux. La piste est ouverte et, un à un, les éléphants font leur numéro d’équilibristes contre quelques cachuètes ou, qui sait, peut-être le sentiment de servir au mieux leur pays. Nous avons connu une opposition tiède, mais là, c’est vraiment devenu de la soupe, très peu populaire. Après la nuit des longs couteaux et la pantalonnade du congrès de Reims. Les mélusines s’associent maintenant dans un bureau pour s’accommoder des restes. Le grand frustré de cette distribution des prix spéciaux aux valeureux anciens combattants du PS, reste Allègre. Nous sommes dans l’expectative mais nous ne doutons pas de le voir bientôt débarquer affublé d’un nez rouge, un dossier sous le bras pour amuser ses amis et confrères débauchés de l’ex PS. Il faut dire qu’à l’époque de leur gouvernance, le PS ressemblait peut-être encore  à un parti. Mais aux vues de l’évolution du devenir de ses piliers, nous comprenons mieux qu’autrefois on jouait à s’opposer pour amuser la galerie. Maintenant nous sommes à l’heure de la réunion des arrivistes associés, suivant d’un pas martial la bannière Elyséenne. En langage diplomatique, on appelle ça une ouverture, en langage populaire, ce serait plutôt le terme de trahison qui serait de mise.

Lang crée sa différence.

Samedi 26 juillet 2008

Créer sa différence, prendre à contre-pied le bobo moyen, voilà tout l’art que dis-je, la culture Jack Lang. Une majorité de français donne raison à sa désobéissance, la droite en quelque sorte …Mais plus fort 64% des sondés -74% des sympathisants socialistes- ont estimé qu’à la suite de ce vote «le PS ne devrait pas l’exclure», de toute façon quel avenir a-t-il si ce n’est faire parler de lui…alors après une gauche, voilà une droite, pour lui même combat.