Articles taggés avec ‘Alexandre Arcady’

Il est né un 17 mars

Dimanche 17 mars 2024

Alexandre Arcady

Le réalisateur français Alexandre Arcady, est né Arcady Egry1 le 17 mars 1947 à Alger (en Algérie).

José Garcia

José Doval, dit José Garcia, est un acteur et humoriste franco-espagnol né le 17 mars 1966 à Paris. Révélé en 1994 par l’émission Nulle part ailleurs, aux côtés d’Antoine de Caunes, il passe avec succès au cinéma grâce à la comédie à succès La Vérité si je mens !, de Thomas Gilou.

Jules Ferry

Jules Ferry, né le 5 avril 1832 à Saint-Dié et mort le 17 mars 1893 à Paris, est un homme d’État français. En 1870, après la chute du Second Empire, dont il était opposant, il est membre du gouvernement provisoire et, pour quelques mois, maire de Paris.

Joyeux anniversaire

Jeudi 17 mars 2016

Alexandre Arcady

Le réalisateur français Alexandre Arcady, est né Arcady Egry1 le 17 mars 1947 à Alger (en Algérie).

La barbarie en 24 jours

Mercredi 30 avril 2014

Le mercredi même où sort le très attendu Spider man, qui sera certainement un des films chouchou de notre jeunesse, sortir un film qui rappelle  l’affaire Halimi est un vrai challenge pour ne pas dire un suicide. Alexandre Arcady, certainement conscient du problème, et toute son équipe n’ont eu de cesse que de faire une promotion tambour battant à propos de son dernier film,24 jours,  qui raconte d’après l’adaptation du livre de la mère de Iam Halimi, la barbarie dont fut victime un jeune juif  par le gang des barbares. Pas un plateau TV, pas un journal n’a échappé à l’explication en long en large et travers de l’importance pédagogique d’aller voir un tel film. Arcady, avec l’aide de ses réseaux,  a tellement bien ficelé l’affaire,  qu’il a été autorisé à tourner une partie de ce film au sein même du fameux 36 quai des orfèvres, ce qui est une première.  Mais ce n’est pas tout, il a pu aussi organiser une projection privée à l’Elysée  en la présence du président de la République en personne. La presse est dithyrambique, tout le monde est conscient de l’importance du message que véhicule ce long métrage . A priori tout semble fait pour que 24 jours connaisse un beau succès et pourtant ?  Alexandre Arcady raconte que déjà pour produire 24 jours, ce ne fut pas rose du tout.   Il n’arrivait pas à le financer, parce que tout simplement, ça n’intéressait pas.

Il est certain que face à Barbecue, la dernière ineptie de comédie à la française où s’est commis Lambert Wilson, qui doit avoir besoin d’argent, le choix risque d’être vite fait. Les hasards d’une programmation peuvent nuire gravement au succès d’un film, tout le monde le sait. Aussi faut-il quelques foi, faire un effort,  oser ce qui n’est pas prédigéré, ni édulcoré, ce qui peut vous mettre mal à l’aise, tout simplement  pour défendre ce qui fait encore notre diversité cinématographique,  cette fameuse exception française, pour qu’elle subsiste.

Mort du comédien Maurice Chevit

Vendredi 6 juillet 2012

Tous ne sont pas en haut de l’affiche et ce n’est pas pour cela que ce ne sont pas des comédiens extraordinaires.  C’est le cas de Maurice Chevit, dont on ignorait bien entendu le nom mais que l’on reconnaissait à chaque apparition. Une voix particulière, une frimousse joviale et farceuse celle qui l’avait fait triompher dans un petit rôle,  celui de Marius le petit ami excentrique de Dominique Lavanant dans les Bronzés font du ski de Patrice Leconte. Le réalisateur du reste l’appréciait énormément et s’étonnait que le cinéma lui ait pas offert de meilleurs rôles. Il aura aussi un rôle dans un immense succès public Le Coup de Sirocco d’Alexandre Arcady.  Cela ne l’a pas empêcher de faire carrière en combinant de nombreuses apparitions à la télévision dans moultes séries et téléfilms,  mais aussi au Théâtre où il a obtenu deux Molières, mais il va de soit du second rôle, en 2002 et 2005. Il vient de disparaître à l’âge de 88 ans

Bruel majeur des 5 doigts d’une main arcadienne

Mercredi 28 avril 2010

patrick-bruelAvec, “Comme les 5 doigts de la main”, Alexandre Arcady nous livre un film qui est un mélange entre une autobiographie filmée et une fiction. Le réalisateur avoue : ” C’est en retrouvant une photo de mon enfance où l’on voit mes frères e moi alignés, par ordre de grandeur, que j’ai eu envie de parler de nous. Être l’ainée et issue d’une fratrie de cinq garçons laisse forcément des traces…” Pour interpréter  l’aîné, c’est à dire son double, il a fait appel à son petit frère de cinéma, qu’il avait fait découvrir au grand public en 1979 dans Le coup de Sirocco. Ce dernier a dans cette histoire comme frère cadet, Vincent Elbaz, puis viennent dans l’ordre, Pascal Elbé, Éric Caravacca et un petit nouveau, Mathieu Delarive. Arcady fidèle à lui-même, nous livre là un film comme il en a le secret. Quant à la critique, en général peu enthousiaste, elle trouve la recette poussiéreuse, remise au goût du jour avec des ficelles grossières. Laissons maintenant au public la sanction finale pour cette double histoire de fratrie arcadienne.