Articles taggés avec ‘Omar Bongo’

Il est né un 8 juin

Samedi 8 juin 2024

Omar Bongo

Omar Bongo, de son nom complet El Hadj Omar Bongo Ondimba, est mort le 8 juin 2009 à Barcelone. Il a été le deuxième président de la République gabonaise. Il a exercé ses fonctions du 2 décembre 1967 à sa mort.

Marguerite Yourcenar

Marguerite Yourcenar, pseudonyme de Marguerite Cleenewerck de Crayencour, née le 8 juin 1903 à Bruxelles et morte le 17 décembre 1987 à Bar Harbor dans l’État du Maine, est une femme de lettres et académicienne française

Robert Desnos

Robert Desnos [dɛsˈnoːs] est un poète surréaliste et résistant français, né le 4 juillet 1900 dans le 11ᵉ arrondissement de Paris et mort du typhus le 8 juin 1945 au camp de concentration de Theresienstadt, en Tchécoslovaquie, un mois après sa libération par l’Armée rouge le dernier jour de la guerre.

Ils sont nés ou morts un 30 décembre

Samedi 30 décembre 2023

Tiger Woods

Le golfeur américain Tiger Woods (nom à la naissance : Eldrick Tont Woods)sst né le 30 décembre 1975 en Californie. Il est considéré comme l’un des meilleurs golfeurs de tous les temps

Saddam Hussein

L’ homme d’État irakien, Saddam Hussein Abd al-Majid al-Tikriti est exécuté par pendaison le 30 décembre 2006 à Bagdad.

Omar Bongo Ondimba, né Albert-Bernard Bongo le 30 décembre 1935 à Lewaï et mort le 8 juin 2009 à Barcelone, est un homme d’État gabonais. Il est président de la République gabonaise du 2 décembre 1967 à sa mort, le 8 juin 2009, après avoir été vice-président sous le mandat de Léon Mba.

Il est mort un 8 juin

Mercredi 8 juin 2016

Omar Bongo

Omar Bongo, de son nom complet El Hadj Omar Bongo Ondimba, est mort le 8 juin 2009 à Barcelone. Il a été le deuxième président de la République gabonaise. Il a exercé ses fonctions du 2 décembre 1967 à sa mort.

Il est mort un 8 juin

Lundi 8 juin 2015

Omar Bongo

Omar Bongo, de son nom complet El Hadj Omar Bongo Ondimba, est mort le 8 juin 2009 à Barcelone. Il a été le deuxième président de la République gabonaise. Il a exercé ses fonctions du 2 décembre 1967 à sa mort.

Surprise au Gabon, Ali Bongo succède à son père !

Vendredi 4 septembre 2009

ali-bongoQuelle surprise, c’est le fils de l’ancien président Omar Bongo qui remporte l’élection avec 41,73% des voix. Ses deux principaux opposants, qui revendiquent, bien entendu, la victoire, André Mba Obame, ancien ministre de l’Intérieur, et Pierre Mamnboundou, leader de l’Union du Peuple gabonais (UPG), obtiennent respectivement 25,88% et 25,22% des voix. Reste à savoir si les malheureux candidats auront le loisir ou le choix de saisir la Cour constitutionnelle pour contester la validité de ces résultats. Tout commence par des urnes truquées et très vite cela se termine à coup de bazooka ou de machette. Une élection démocratique ne peut que muter  en  élection démocritique. Viendront ensuite le temps des règlements de comptes et des alliances. Il était couru d’avance qu’Ali Bongo, en tant qu’ex-ministre de la défense, fils de l’ex président et leader du pouvoir en place,  l’emporte. Voilà les jeux sont faits rien ne va plus, mais tout était prévu, la police anti-émeute est déjà à l’ouvrage dans les rue de Libreville qui porte décidemment bien mal son nom. Comme toujours en Afrique tout le monde a gagné, un peu comme en Afghanistan, mais en fait c’est très vite le retour la jungle et la loi du plus fort qui sévit une fois de plus. C’est ainsi que le 3 septembre 2009 est naît une dynastie démocratique au Gabon.

Jacquot s’fait la plume

Mardi 1 septembre 2009

jacques-chirac

Jacques Chirac sort une autobiographie à la rentrée “Pour tout vous dire, les prémices de cet ouvrage sont nées ici même à ST-Tropez  l’été dernier”, précise le sémillant septuagénaire. Interrogé sur ce “prochain rendez-vous”, Mr Chirac répond : “Ce sera à travers un livre signé de ma plume, à la rentrée, chez Nicole Lattès (Nil éditions), une autobiographie qui couvrira ma période présidentielle jusqu’à aujourd’hui”. Si comme dans la chanson Les vieux de Brel, ses apparitions sont essentiellement des enterrements ( Soeur Emmanuelle, cérémonie pour les victimes de l’accident Rio-Paris, Obsèques d’Omar Bongo), chacune de ses sorties est rythmée par une ovation, du reste il n’a jamais été aussi populaire. Celui qui a inspiré la marionnette de “super menteur” aux Guignols, n’en manque pas une et rétorque : ” Ce ne serait pas un événement si on se voyait. L’événement ce serait plutôt si on ne se voyait pas. J’entretiens d’excellents rapports avec Nicolas Sarkozy pour qui j’ai beaucoup d’estime et d’amitié”, sic. L’affaire se fera en deux tomes dont le premier est prévu pour le 19 octobre. Ecrit à la première personne, avec l’aide de l’historien Jean-Luc Barré, l’ouvrage relatera l’incroyable carrière, des débuts aux côtés de Georges Pompidou à la victoire sur Edouard Balladur. Le récit du septennat et du quinquennat tiendra dans le second volume. Même si nous sommes loin des mémoires du grand Charles, cela nous promet quelques croustillants mystères de polichinelle et une bonne lecture où l’ex chef d’Etat doit quelque part au détour d’un chapitre régler quelques comptes courants.

Let’s Recap, récapitulons…

Dimanche 14 juin 2009

Cette fois Omar Bongo est bien mort

Mardi 9 juin 2009

omar-bongoScoop! Le Premier ministre gabonais n’était pas au courant de la mort de son Président. “J’ai été très surpris, comme beaucoup de mes compatriotes, en apprenant par la télévision française que le président gabonais était décédé”, a-t-il  déclaré. Après un invraisemblable cafouillage médiatique, il s’est rendu sur place  et annonce que  l’inamovible président du Gabon, doyen des  chefs d’Etat africains est bien vivant. Ce répit fut de courte durée, car l’après-midi même, c’est officiel Ormar Bongo âgé de 73 ans est décédé d’un arrêt cardiaque. Depuis la disparition de l’Ivorien Félix Houphouët-Boigny, fin 1993, Bongo avaiit repris vaillamment le flambeau d’une “Françafrique” moribonde. “L’Afrique sans la France, c’est une voiture sans chauffeur. La France sans l’Afrique, c’est une voiture sans carburant” disait-il à Libération en 1996. La famille Bongo posséderait en France des biens immobiliers équivalents à quelques 150 millions d’euros, soupçonnés d’avoir été financés par des fonds publics détournés. Au cours de son long règne, Bongo, fin stratège, a coopté un à un ses opposants au sein de différents gouvernements, réduisant à néant toute idée d’alternance. Vice-président du parti au pouvoir son fils, Ali, contrôle l’armée à la tête de laquelle il a nommé ses fidèles. Ce dernier est idéalement placé pour succéder à son père.