Elle est née un 5 juillet
Vendredi 5 juillet 2024Laurence Ferrari
La journaliste et animatrice de télévision française, Laurence Ferrari, née le 5 juillet 1966 à Aix-les-Bains (Savoie).
Amélie Mauresmo est une joueuse, entraîneuse et dirigeante de tennis française, née le 5 juillet 1979 à Saint-Germain-en-Laye. Elle est depuis décembre 2021 directrice du tournoi de Roland-Garros.
Georges Pompidou, né le 5 juillet 1911 à Montboudif et mort le 2 avril 1974 à Paris, est un haut fonctionnaire et homme d’État français. Il est Premier ministre du 14 avril 1962 au 10 juillet 1968 et président de la République du 20 juin 1969 à sa mort.
Pierre Mauroy, né le 5 juillet 1928 à Cartignies et mort le 7 juin 2013 à Clamart, est un homme d’État français. Il est député du Nord entre 1973 et 1992, maire de Lille de 1973 à 2001, Premier ministre de 1981 à 1984 et sénateur de 1992 à 2011.
Michel Maurice Germaneau est un ingénieur français, né le 5 juillet 1931 à Bazas, engagé dans l’aide humanitaire, pris en otage le 20 avril 2010 dans le nord du Niger par une cellule d’Al-Qaïda au Maghreb islamique dirigée par l’Algérien Abdelhamid Abou Zeïd.
Gilles Lellouche, né le 5 juillet 1972 à Savigny-sur-Orge est un acteur, réalisateur et scénariste français. Il est le frère cadet de l’acteur Philippe Lellouche.
François Bourgeon, né le 5 juillet 1945 à Paris, est un scénariste et dessinateur de bande dessinée français. Il est l’auteur d’œuvres renommées comme Les Passagers du vent, Les Compagnons du crépuscule et Le Cycle de Cyann qui lui ont valu plusieurs prix et distinctions.

















Peut-on mélanger littérature et politique ? Cela semble bien délicat dans l’affaire Mitterand. Les paroles s’envolent, les écrits restent les vidéos aussi, c’est du reste tout le problème de la classe politique actuelle. Certains politiques cherchent le pilori dans les raclures de bidet. Tout cela resemble à un combat de bas étage qui ne grandit pas le débat politique. Ne sommes nous pas avec l’affaire Cleanstream au coeur de la vilénie et du mensonge que fourbissent au quotidien les élus du peuple. Pourquoi s’étonnent-ils ensuite que l’on soit méfiant à leur égard. Jean-Yves Camus, politologue spécialiste du FN, n’a pas franchement tort quand il dit : “c’est la seule façon d’occuper le terrain”. Quant à Benoît Hamon, il se trompe de combat en se laissant sur cette piste nauséabonde et en se faisant le chantre de la moralité. Il a déclaré sur Canal + : “Si on excuse tout parce que M. Mitterand est connu, eh bien moi je n’excuse pas”. Le moralisme primaire va mal au PS actuel qui ne cesse de produire du coup bas à discrétion. Il y a pourtant tant à faire, il devrait avant tout se concentrer sur son véritable travail d’opposant, en évitant les clowneries de bazar et les jeux de massacre digne d’une fête foraine. Frédéric Mitterand, même s’il n’a pas convaincu les irréductibles, a montré sur TF1, interrogé par Laurence Ferrari, qu’il n’avait besoin de personne pour se défendre. Seulement comme lui on peut déplorer que l’on fasse un amalgame et que “l’affaire Polanski devienne l’affaire Mitterand”.