Articles taggés avec ‘Anne Lauvergeon’

Ségo le retour

Jeudi 21 février 2013

Dans la série on reprend toujours les mêmes et on recommence, après Anne Lauvergeon et jean-Claude Trichet chez EADS,  Jack Lang nommé directeur de l’Institut du Monde Arabe à la dérive, voilà Ségolène Royal qui devient vice-présidente et porte-parole de la toute nouvelle BPI (Banque Publique d’Investissement). Il faut dire que depuis que la gauche est au pouvoir Ségolène a pas mal trinqué, en particulier en ratant une place de député à la Rochelle et du même coup le perchoir. Chacun son hochet ou son os à ronger, il ne faut pas décevoir les siens et placer ces pions, une politique qui n’est ni de gauche ni de droite mais  générale et attendu.  La présidente régionale de PoitouCharente  déclare :”Je suis heureuse de pouvoir être utile [...]. J’ai préfiguré cette banque publique dans ma région, je sais que ça marche”. Après le refus du ministère de la Justice et la direction du l’Institut du Monde Arabe, voilà le grand retour sur la scène médiatique et politique après une véritable quarantaine.  Ségolène nous la joue à la Beckam en déclarant que cette fonction ne sera pas rémunérée. Peut-on y croire et que cela cache-t-il ? Peut-on imaginer que ce poste ne soit qu’un tremplin ? L’avenir nous l’apprendra certainement sous peu.

“Atomic Anne” de retour aux affaires

Mardi 29 janvier 2013

Pour le nouveau conseil d’administration, prévu pour mars, du groupe d’aéronautique et de défense EADS , l’État Français a nommé deux personnalités bien connues dans le monde des affaires pour le représenter. Si l’on en croit les informations du Journal du Dimanche, le président François Hollande verrait bien, celle qui fut conseillère de François Mitterand  et ex- patronne d’Areva, démise de ses fonctions il y a un an et demi par Nicolas Sarkozy, à la tête d’EADS. Voilà déjà un pied à l’étrier pour “Atomic Anne”, qui il y a peu avait été donné favorite pour la banque publique d’investissement, ou pour remplacer Stéphane Richard à la tête de France Télécom Orange, sans que cela se concrétise. Il reste maintenant à obtenir l’accord de Berlin qui à la suite de la réduction des parts du français Lagardère et de l’allemand Daimier, devrait monter sa participation au capital du groupe à 12%, soit l’équivalent de l’investissement de l’État Français.

Que ce soit pour Jean-Claude Trichet, ancien président de la Banque Centrale Européenne (BCE) ou pour Anne Lauvergeon, qu’elle devienne présidente de EADS ou pas, c’est un retour de tout premier plan,  pour ces deux personnalités, au monde des affaires.

Des flics chez les Fric

Jeudi 29 décembre 2011

Des flics qui espionnent Fric, on croit rêver ou avoir à faire à un mauvais jeu de mots, il n’en est rien. MrOlivier Fric existe bien, et c’est l’époux de la femme vénale Anne Lauvergeon, “ex patronne fort contestée et finalement virée par l’Élysée. Depuis des semaines, de  mystérieux barbouzes privés de tout sauf de moyens, ont enquêté sur le couple Lauvergeon Fric, c’est vrai que ça ne s’invente pas. Téléphone barbouzé, les privés vont jusqu’à enquêter sur la vie intime d’Olivier Fric en Suisse. Tout les intéresse rien n’est à jeté, mais en fait qui leur veut du bien à ce point? Le bailleur de fonds et grand ordonnateur d’enquête n’auraient pas choisi des privés par hasard, il sait très bien qu’il franchit là la ligne blanche. Mais qui peut-il être ? La liste est longue des candidats à commencer par l’ennemi N° 1, Henri Proglio, PDG d’EDF, qui avait dans son viseur Areva jusqu’à de qu”Anne Lauvergeon débusque ses plans et s’y oppose. Mais elle n’est pas le seul à qui elle s’est opposée, il y a aussi Bouygues qui lorgnait sur Areva un morceau de choix pour le patron de BTP.C’est sans compter sur l’ex PDG d’EDF, François Roussely, actuellement PDG du Crédit Suisse first Boston. Enfin Luc Garsel Oursel qui avait intrigué pour virer Lauvergeon à l’époque où il lorgnait sur son poste. Les candidats à la bassesse ne manquent pas reste à débusquer le bon.

Areva perd la tête

Samedi 18 juin 2011

Ce qui n’était jusque là que des rumeurs semblent se confirmer. Nicolas Sarkozy ne souhaitait pas qu’Anne Lauvergeon, dont le mandat s’arrête fin juin, se succède comme elle l’aurait espéré. Il aimerait voir nommer à sa place  Luc Oursel, directeur général délégué d’Areva, à la présidence du directoire. Ce que le président veut, dieu veut,  c’est alors que  Matignon vient de faire savoir qu’il soutenait Luc Oursel, une manière de remercier Anne Lauvergeon et d’officialiser politiquement ce choix. Du reste cette dernière a été convoquée pour bien mettre les points sur le i. “Atomic woman” n’est plus, puisqu’il suffit maintenant de l’approbation du conseil de surveillance pour entériner le choix Élyséen. Certaines mauvaises langues vont jusqu’à dire qu’Anne Lauvergeon paye de sa tête un choix fait par EDF contre l’avis d’Areva.  Anne Lauvergeon pourra dire “L’EPR m’a tué”.  Selon un communiqué de Matignon, “Luc Oursel sera notamment chargé  de mettre en œuvre un plan d’amélioration de la performance du groupe afin de renforcer sa compétitivité et de poursuivre son développement”. A priori, rien de va plus pour Anne Lauvergeon, les jeux seraient faits…

Let’s Recap…récapitulons

Dimanche 24 janvier 2010

Anne Lauvergeon sera-t-elle un bouc-émissaire ?

Mardi 19 janvier 2010

anne-lauvergeonSelon le magazine américain Fortune, Anne Lauvergeon, 50 ans, est le seul patron d’envergure en France à être marquée à gauche. Selon Libération, la 11e femme d’affaires la plus puissante de la planète, a vu passer imperturbablement : “trois présidents d’EDF, neuf ministre de l’Industrie, quatre premiers ministres et deux présidents de la République”. Mais voilà, Henri Proglio, le nouveau PDG d’EDF, veut sa peau. Suite au revers d’Abu Dhabi, il proposait rien de moins que le démantèlement d’Areva, pour que le nucléaire retourne sous l’égide d’EDF. Une guerre d’influence et d’egos, entre ces deux grands patrons, risque de tourner mal pour Anne Lauvergeon. Pour Libération comme pour l’Humanité, après le fiasco de l’EPR, un produit Areva, au Moyen-Orient, la PDG “risque de servir de fusible” ou de “bouc-émissaire”. Dans ce feuilleton politico-économique, les paris sont pris et tous les coups sont permis.

henri-proglio

Sylvie Brunel, Mme ex Besson publie

Jeudi 22 octobre 2009

sylvie-brunel1La féministe Sylvie Brunel, mariée à Éric Besson de 1983 à2009, vient d’écrire un livre en plein divorce : ” Manuel de guérilla à l’usage des femmes”. Humour décapant, description assassines et sincérité totale. Un livre malgré tout, plein d’indulgence mais qui “balance”. Elle se défend bien entendu de surfer sur la vague médiatique de son ex et déclare :” C’est le livre sur les femmes qui avancent en âge et voient soudain trente années de leur vie rayées de la carte, quand leur homme se sent des envies de jeunesse.” Il est vrai que la compétition entre femmes auprès des hommes de pouvoir n’est pas, loin de là, un sujet d’actualité. Écrire ce” manuel de guérilla à l’usage des femmes” bafouées ne manque  ni d’originalité ni de lectrices. Que Sylvie Brunel se tranquillise, la tendance à très court terme risque de s’inverser. Comment alors les hommes réagiront-ils auprès des femmes de pouvoir de plus en plus nombreuses ? Anne Lauvergeon pense que les hommes ont peur, mais ce n’est pas l’avis de Christine Boutin qui, les yeux remplis de gourmandise, clamait le contraire  sur le plateau du grand journal de Canal +. Messieurs, à quand un manuel de guérilla à l’usage des hommes victimes des femmes de pouvoir ?

Let’s Recap, Récapitulons…

Dimanche 26 avril 2009

Chez Areva si nous parlions de la patronne

Mercredi 22 avril 2009

anne-lauvergeonIl devient en France à la mode de parler des gros salaires et de les épingler à la une de tous nos quotidiens, Crise oblige. Nous avons la fâcheuse habitude de ne parler que des patrons, et les patronnes alors, qu’en est-il ? Anne Lauvergeon, présidente du directoire d’Areva, est actuellement à la recherche désespérée d’argent, à l’Elysée entre autre, pour financer sa croissance, mais pas seulement. Le groupe nucléaire a vu son résultat net chuter de près de 21% l’an dernier. En la même période le directoire quant à lui ne s’est pas oublié question rémunération, Crise ou pas. Pour Anne Lauvergeon, passons sur les calculs alambiqués, l’augmentation est tout de même de 33%. Quant aux trois autres membres du directoire, Gérald Arbola, Didier Benedetti et Luc Oursel, ces messieurs doivent se satisfaire de 29% l’an dernier, galanterie oblige !