Articles taggés avec ‘Morgan Parra’

Il est né un 15 novembre

Mercredi 15 novembre 2023

Morgan Parra

Le joueur de rugby à XV international français Morgan Parra est né le 15 novembre 1988 à Metz

Virginie Ledoyen, nom de scène de Virginie Fernández, née le 15 novembre 1976 à Paris 10ᵉ, est une actrice française.

Laura Smet, née le 15 novembre 1983 à Neuilly-sur-Seine, est une actrice et chanteuse française. Elle est la fille de Johnny Hallyday et de Nathalie Baye.

Jenifer Dadouche-Bartoli, dite Jenifer Bartoli ou simplement Jenifer, est une chanteuse et actrice française, née le 15 novembre 1982 à Nice. Révélée par sa participation à l’émission télévisée Star Academy, dont elle remporte la première saison le 12 janvier 2002, Jenifer compte en 2022 neuf albums studio.

Antoine Dupont, né le 15 novembre 1996 à Lannemezan, est un joueur international français de rugby à XV jouant principalement au poste de demi de mêlée au Stade toulousain et en équipe de France depuis 2017.


Il est né le 15 novembre

Jeudi 15 novembre 2018

Morgan Parra

Le joueur de rugby à XV international français Morgan Parra est né le 15 novembre 1988 à Metz

Ils sont nés un 15 novembre

Dimanche 15 novembre 2015

Virginie Ledoyen

L’actrice française, Virginie Ledoyen est née Virginie Fernández le 15 novembre 1976 à Paris.

Morgan Parra

Le joueur de rugby à XV international français Morgan Parra est né le 15 novembre 1988 à Metz

Joyeux anniversaires

Samedi 15 novembre 2014

L’actrice allemande Susanne Lothar est née à Hambourg le 15 novembre 1960 elle aurait 54 ans

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L’actrice française, Virginie Ledoyen est née Virginie Fernández le 15 novembre 1976 à Paris.

La chanteuse et actrice française Jenifer Yaël Dadouche-Bartoli, dite “Jenifer”, est née le 15 novembre 1982 à Nice

Le joueur de rugby à XV international français Morgan Parra est né le 15 novembre 1988 à Metz

Une défaite au goût de victoire

Lundi 11 novembre 2013

Même si les All blacks pour l’occasion se sont retrouvés en blanc leur cri de guerre lui ne  s’était pas décoloré et leur jeu fut toujours aussi foudroyant.  Bien que les français n’aient  pas démérité et se sont  battus avec courage, il a manqué cette fulgurance qui semble inée chez les néo-zélandais et se sont inclinés 19 à 26.

Tout commence comme bien souvent par un duel de buteurs sur pénalités, et à ce jeu là Dan Carter est intraitable avec un 100% de réussite. Une chance pour nous il est sorti en deuxième mi-temps.

Parra quant à lui manque deux pénalités er ce sont ces petits détails qui à la fin font de grosses différences. Les français défendent bien, vont même  jusqu’à inquiéter les blacks sur leur ligne d’en but , mais voilà ils n’arrivent pas à faire la différence. C’est justement ce que font  les néo-zélandais qui, dès que les bleus lâchent un peu en intensité de jeu, s’engouffrent et un quart d’heure s’envolent au score en inscrivant deux essais en un clin d’oeil. Les français réagissent bien un marquant un essai à leur tour mais ils n’arriveront pas à égaliser même s’ils pressent les blacks sur leur ligne jusqu’à la dernière  minute. Au terme du match, c’est bien évidement la déception, malgré tout une pointe d’orgueil leur fait lever la crête à nos guerriers d’Ovidie qui n’ont pas joué aussi bien depuis bien des matchs. On n’a pas à rougir de cette défaite parce qu’elle a certainement des accents de victoire à venir.

Enfin en finale !

Lundi 29 avril 2013

A la Mosson à Montpellier, samedi après-midi se jouait le va-tout de Clermont face au Irlandais de Munster en demi finale de Hcup. Dès la 5e minutes O’Gara, l’homme au 1000 points en Hcup, transforme la première pénalité.  La réaction clermontoise ne se fait pas attendre, Nalaga plante un essai entre les poteaux irlandais et signe son 17e essai sur 20 matchs, excusez du peu. Va suivre un festival Morgan Parra, qui reste le meilleur marqueur français avec 84% de réussite. Une transformation et deux pénalités après, la France mène 16 à 3. L’affaire semble si bien engagée que l’on a le sentiment que Clermont se balade.

C’était sans connaître le rebond offensif du Munster. O’Gara, toujours lui, met un excellent coup de pied rasant et bondissant que Denis Hurley aplati derrière nos lignes.Comme à la parade, O’Gara transforme et les rouges recollent au score 16 à 10. Voilà qui annonce une fin torride, mais le XV clermontois défend bec et ongles son embut, fixant les irlandais qui n’arriveront pas à trouver la faille. A 30 secondes de la fin, l’arbitre siffle une pénalité pour Clermont qui ne sera même pas tirée. Enfin un club français accède à nouveau à la finale ce qui n’était pas arrivé depuis 3 ans.

La révolte des bleus a une lieu, mais bien tardivement.

Lundi 11 mars 2013

En préambule de ce match, le nouveau Président de la République irlandaise Michael Higgins se fait présenter l’équipe de France.  Premier essai transformé des Irlandais douze minute après le début du match, marque la volonté des verts de maîtriser ce match. Les français subissent le jeu des irlandais sans trouver le moyen de les contrer, se mettant souvent encore très souvent à la faute.

Michalack est incapable de réduire le score grâce aux pénalités et la première mi-temps se termine avec un avantage de 10 points pour les trèfles verts. Les bleus sont pris à la gorge subissent le jeu et la fougue des irlandais.

Morgan Parra remplace Michalack et transforme une pénalité ramenant les français à 7 points. Après une domination meurtrière de la France Louis Picamol marque enfin l’essai libératoire transformé par Michalack. Le terrain se jonche de blessés et les verts sont au bout de leur effectif à 2 secondes de la fin du match.Le dernier quart d’heure a été déterminant et comme l’an dernier les deux équipes se quittent à égalité. Louis Picamoles reste le joueur du match encore une fois.Une chose est certaine, la France n’aura pas cette année encore la cuiller de bois.

Quand Marc Lièvremont évoque les Irlandais ce qui l’a toujours étonné  chez eux , c’est le”… contraste qui existe entre la rugosité des joueurs quand ils sont sur le pré et leur convivialité quand ils sont en-dehors.”

Une finale aux forceps

Lundi 17 octobre 2011

Que doit-on retenir de ce match de demi-finale ?  Nous n’étions pas les favoris loin de là et les bookmakers nous avaient enterrés vivants. Il faut dire que l’on sort avec un drôle de goût dans la gorge au terme d’un match où nous avons été malmenés plus des trois quart du temps. Tétanisée par l’enjeu, l’équipe de France oublie de jouer. Elle revient à ce que nous avions vu et connu avant le match contre les Anglais. Le XV se cherche sans jamais se trouver ni se créer quelques phases de jeux convaincantes. Ces diables rouges nous dominent nous font rôtir en enfer même en infériorité numérique, à quatorze contre quinze, presque tout le match. Un seul manque et il leur est fatal, ils ne transforment rien et sont en panne de buteur. Voilà le seul point fort des Français, Morgan Parra du bout du pied  fait la différence en réussissant tout ce qu’il tente, et assure une minuscule victoire 9 à 8. Comme le dit l’entraîneur au terme du match : “Il convient d’avoir la victoire modeste”, c’est le moins que le puisse dire. Le XV de France déchaine les quolibets de toutes sortes. Le capitaine de l’Afrique du Sud, François Pienaar n’hésite pas à dire que “la France est la pire équipe du Mondial” et le New-Zealand Herald qui n’en rate pas une, titre : “France give final insult” que l’on peut traduire par “insulte à la finale’. La finale rêvée est enfin là.  Nous allons être confrontés  une nouvelle fois les Blacks, mais beaucoup attendent une véritable punition de la part de l’équipe qui a été favorite d’un bout à l’autre de ce mondial. Cette fois-ci les All Blacks ne seront certainement pas quatorze mais au moins seize avec le public Néo- Zéalandais qui mettra le feu, mais rien n’est joué avec des français capables du pire comme du meilleur.