Articles taggés avec ‘les Bleus’

Brève du jour

Samedi 14 février 2015

Didier Deschamps, 46 ans,  a été reconduit pour deux années supplémentaires par la fédération française de foot. Il officiera jusqu’au mondial 2018 à la tête de l’équipe de France. Cette prolongation en soi n’est pas vraiment une surprise puisque c’était voulu par les deux parties.

L’actuel président de la FFF Noël le Graët

Si ce dernier ne se représente pas, il est possible que Didier Deschamps officie à la tête des bleus sous deux présidences.

Les bleus continuent à nous faire rêver

Jeudi 6 mars 2014

Le match amical France Pays-bas était bien entendu un test très important avant la coupe du monde qui est maintenant dans moins de 100 jours. Il s’agissait de savoir si le match retour contre l’Ukraine n’était qu’un épi phénomène ou pas. Le début du match nous laisse un peu sur notre faim quand nous voyons les néerlandais jouer le ballon et nous en priver durant de longues minutes. Mais très rapidement quelques incursions dans le camp des oranges déstabilise totalement leur défense. Le douzième joueur  des bleus joue bien évidement un rôle primordial avec ses 80 000 fans au sein d’un stade de France majoritairement tricolore. La confiance reprend ses droits et  le pilonnage des cages du portier néerlandais commence.

Après un but refusé, Karim Benzema en grande forme troue les défense et marque à la 31 e minute et nous offre pour sa 65e sélection un 19e but. Les tricolores nous offrent alors un beau spectacle à l’instar du but acrobatique d’un Blaise Matuidi omniprésent à tous les niveaux. Au terme de la première mi-temps la France mène déjà 2  à 0. Ce sera du reste le score final, et les français battent des néerlandais impuissants. C’est  pour les Pays-bas la première défaite depuis un an et demi et quelques 17 matchs.

Sans vouloir crier au miracle ou cocorico, l’équipe sélectionnée par Didier Deschamps qui fait confiance à la jeunesse comme Lucas Digne, 20 ans, et Antoine Griezmann, 22 ans, qui se comportent  de la  meilleure manière qui soit. Maintenant tout cela reste à confirmer  une nouvelle fois contre la Norvège le 27 mai.

Que du plaisir?

Lundi 10 février 2014

Wesley Fofana

Que du plaisir en ce dimanche pluvieux en regardant une équipe du XV de France qui nous donne envie de regarder du rugby et de vibrer avec nos tricolores. Dès les premières images, c’est fabuleux de sentir à l’instar des Italiens une équipe de France soudée qui chante d’une même voix la Marseillaise. Sans être archi conservateur c’est tellement différent des footeux qui durant la Marseillaise baillent ou font la gueule comme s’ils étaient Papou. Malgré un début calamiteux où Doussain cherche en  vain l’espace entre poteaux on sent les tricolores ultra déterminés qui ne veulent en découdre avec leurs tombeurs de l’an dernier. C’est seulement à la 27e minute que le XV débloque le compteur, égalisé par des Italiens vigilants dans la foulée. Quand tout à coup le match chavire seulement en 10 minutes. A la 43e Wesley Fofana aplatit dans l’en-but “rital”, à la 45e Huget récidive et à la 51e c’est au tour de Bonneval au terme d’une folle chevauchée. La messe est dite 30 à 3, c’est l’humiliation. La fin du match très tendue se conclue sur une volée de marrons et deux cartons rouges. Sursaut d’orgueil, le XV de la botte sauve l’honneur bafoué, alors qu’ils n’avaient pas démérité, mais ce dimanche 9 février ils avaient affronté une équipe de France qui jouait au rugby avec force et plaisir. Terminons par une citation de celui qui a marqué le premier essai, Wesley Fofana qui a déclaré : “On se trouve de mieux en mieux. Chacun sait où il doit aller. Il reste juste des détails à régler, mais je sais que ça viendra.” S’ils continue dans cette veine on n’en doute même pas.

Les bleus capables du pire comme du meilleur

Mercredi 20 novembre 2013

La France est haletante et tendue à l’idée de ne pas se qualifier pour la coupe du mode au Brésil. Après 17 min il ne se passe rien, mais déjà on sent que les contres ukrainiens restent dangereux. Mais voilà tout à coup que la France s’envole, le stade hurle sa joie, l’espérance resurgit parmi les supporters.

Quant à Mamadou Sakho c’est là révélation du match avec un doublé lui qui n’avait jamais marqué en bleu.

Benzema marque deux fois, le bon est refusé, celui qui était hors-jeu est accepté. Il y a vraiment de l’approximation dans l’arbitrage.

Domination nette des bleus qui jouent enfin comme des morts la faim. Il faut dire que c’est peut être au pied du mur que l’on voit l’ouvrier, mais là enfin, ils se sont mis à jouer au foot.  Cabaye fait une première mi-temps remarquable. Fin de la première mi-temps les compteurs sont remis à 0, 2 à 2 tout est possible. C’est le coup de mou pour la France qui n’arrive pas à faire la différence 10 contre onze. Puis tout à coup Mamadou Sakho surgit et réussit un doublé, c’est vraiment la révélation de ce match. La Marseillaise ne cesse de retentir dans les tribunes. La France va pouvoir disputer sa 5e coupe du Monde consécutive. Explosion de joie, François Hollande est venu et opère une belle récupération politique. Il semble nous dire :” Alors heureux, vous voyez qu’il ne faut pas toujours critiquer, mais avoir confiance.” Cette façon de parler au second degré, n’est pas pour Ribéry et sa bande qui pourtant ne manque pas d’arroser la presse au champagne, avec un faux air de l’arroseur arrosé. Maintenant le plus dur reste à faire, ne pas être ridicule durant cette coupe du Monde au Brésil. Souhaitons que cela leur serve de leçon mais ce n’est pas gagné.

Images de la semaine selon Nalair

Dimanche 17 novembre 2013

Il aura peut être le ballon d’or 2014 mais il y a de grandes chances qu’il ne connaissent pas une nouvelle coupe du monde au Brésil…Il faudra qu’il fasse preuve de génie mardi prochain et ce n’est pas gagné. Actuellement les bleus sont verts et pas tant que leurs supporters qui craquent.

Va-t-il éviter une nouvelle fois le mur de l’indignation populaire et la fronde au sein du parti et des pseudos alliés

Le stoïcisme dont fait preuve Hollande est-il une subtilité ou une faiblesse avouée ?

Les bleus s’inclinent face à l’Ukraine déterminée

Samedi 16 novembre 2013

Le futur ballon d’or n’a rien pu contre une équipe d’Ukraine super efficace et combativité . Tout a été fait durant la partie pour maîtriser l’OVNI Ribéry, actuellement en super forme. En effet il a passé plus de temps à faire la culbute qu’à briller dans l’en but.

La première mi-temps Olivier Giroud n’a pu s’imposer de la tête, Il a reçu peu de ballon et n’a été en rien déterminant en pointe de cette attaque française.

En seconde mi-temps, le sélectionneur fait entrer Karim Benzema qui n’est là encore pas à la hauteur de l’enjeux.

Sur la touche, très inquiet Didier Deschamps voit les chances de sa sélection de plus en plus compromises, face à des Ukrainiens de plus en plus dangereux. En seconde période les vannes lâchent et Lloris encaisse un premier but à la 61e minutes

Les espoirs de la France, couleur du maillot de Lloris se brisent une première fois. Mais la défense des bleus sera sans cesse débordée, surtout par des attaques fulgurantes d’Ukrainiens soutenu par un stade déchaîné, qui y croit. Tout cela s’aggrave lorsque la France concède un pénalty provoqué par Koscielny et transformé comme à la parade. C’est fini, les bleus n’ont jamais été dangereux et par contre les ukrainiens n’ont jamais cessé de l’être. Ce n’est pas mission impossible au match de retour mais il faudra trouver la bonne formule, parce que ce soir  le résultat a été fort décevant et les bleus se sont logiquement inclinés face à une équipe d’Urkaine de loin plus combattive et plus déterminée que jamais à briser le barrage qui les éloigne encore de leur passeport pour le Brésil.

Une défaite au goût de victoire

Lundi 11 novembre 2013

Même si les All blacks pour l’occasion se sont retrouvés en blanc leur cri de guerre lui ne  s’était pas décoloré et leur jeu fut toujours aussi foudroyant.  Bien que les français n’aient  pas démérité et se sont  battus avec courage, il a manqué cette fulgurance qui semble inée chez les néo-zélandais et se sont inclinés 19 à 26.

Tout commence comme bien souvent par un duel de buteurs sur pénalités, et à ce jeu là Dan Carter est intraitable avec un 100% de réussite. Une chance pour nous il est sorti en deuxième mi-temps.

Parra quant à lui manque deux pénalités er ce sont ces petits détails qui à la fin font de grosses différences. Les français défendent bien, vont même  jusqu’à inquiéter les blacks sur leur ligne d’en but , mais voilà ils n’arrivent pas à faire la différence. C’est justement ce que font  les néo-zélandais qui, dès que les bleus lâchent un peu en intensité de jeu, s’engouffrent et un quart d’heure s’envolent au score en inscrivant deux essais en un clin d’oeil. Les français réagissent bien un marquant un essai à leur tour mais ils n’arriveront pas à égaliser même s’ils pressent les blacks sur leur ligne jusqu’à la dernière  minute. Au terme du match, c’est bien évidement la déception, malgré tout une pointe d’orgueil leur fait lever la crête à nos guerriers d’Ovidie qui n’ont pas joué aussi bien depuis bien des matchs. On n’a pas à rougir de cette défaite parce qu’elle a certainement des accents de victoire à venir.

Les bleus font un festival

Samedi 12 octobre 2013

Face à l’Australie, déjà qualifiée pour la coupe du Monde au Brésil, on retrouve  une équipe de France métamorphosée, qui semble tout à coup savoir jouer au foot.

Il faut dire que le match commence curieusement. Ribéry transforme un pénalty qui n’était que dans les rêves de l’arbitre portugais, mais cela déclenche une véritable frénésie face à la cage des Australiens. C’est alors un véritable festival. On a l’impression de retrouver des attaquants, enfin qui ne doutent plus. Giroux dépose un ballon lobé pied gauche dans le but adverse avec délicatesse . Mais il remettra ça bientôt pied droit sans bavure. Le parc des Princes exulte. Nous avons l’impression de rêver et que rien ne peut arrêter cette machine qui parait enfin bien huilée. Ribéry distribue les ballons et les attaquants marquent que veut-on de plus, nous profitons de l’instant. Cabaye conclue e 4 ème but en moins de 30 minutes, c’est incroyable.

Deschamps face à l’avance décide  de faire rentrer à la deuxième mi-temps une grande partie du banc. Il y a un flottement évident, on a très vite l’impression que ce moment de grâce est fini. Pourtant nous verrons encore deux buts, une de Debuchy et même un de Karim Benzema  qui l’eut cru. C’est donc après 1222 min de jeu sans but en bleu que Benzema met fin à une véritable malédiction. Le public scande son nom pendant quelques minutes, il les salue sous les ovations. Il semble qu’une époque douloureuse prenne fin pour Benzema mais aussi pour les bleus qui ont produit face à des Australiens déconcertés leur meilleur jeu. Il restera maintenant à concrétiser cette mutation mardi soir  contre la Finlande. Reprendre confiance est déterminant, cela sera-t-il suffisant.

On n’y croyait plus

Mercredi 11 septembre 2013

Si l’on s’en tenait qu’au score, 4 à 2 pour les bleus contre la Biélorussie on pourrait être satisfait, et pourtant … Ce fut un match des plus décousu et inattendu. La première mi-temps montre une équipe de France sans jus qui ne trouve pas son rythme et qui n’a pas d’inspiration. Quant tout à coup sur un corner les bélarusses trompent Hugo Lloris qui fait une faute impardonnable. Pour sa 50e sélection le portier des bleus, qui a si souvent été irréprochable craque. Il s’en veut énormément, on  le sent fragile, désemparé. Le doute s’installe sur le banc comme sur le terrain. Le bilan de la première mi-temps est cauchemardesque pour les français.

Mais voilà, Zorro Ribéry est arrivé. Après un début de seconde mi-temps du même tonneau, le munichois se fait faucher dans la zone par le portier et obtient un pénalty, à la 47 e minute, qu’il transforme remettant les compteurs à zéro. Enfin les bleus coupent avec une malédiction de 526 minutes sans marquer. Il faut remonter à 1925 pour retrouver une telle mauvaise passe. On se prend à espérer, mais c’est sans compter sur la méforme de Lloris qui fait une nouvelle faute de mains. Les bélarusses reprennent l’avantage. Heureusement Ribéry, toujours aussi offensif finit par retrouver la voie des buts à la 64e minute, redonnant foi aux bleus qui enfin se lâchent.  C’est  grâce à deux buts coup sur coup, l’un de Nasri, l’autre de Pogba à la70e et à la 73e que l’on peut enfin pousser un ouf de soulagement,  parce que franchement on n’y croyait plus. Maintenant le plus dur reste à faire.

Il est Blanc, et alors ?

Lundi 24 juin 2013

Dès l’annonce de la nomination de Laurent Blanc comme coach pour le PSG, les médias ne le ratent pas.” Le choix par défaut”, est souvent titré, mais peu importe, c’est lui qui est choisi et maintenant c’est certainement pas pour rien. Blanc c’est avant tout une image, celle d’ un ex champion du Monde qui a entrainé les bleus, mais ce qui n’est pas rien certainement pour les financiers qataris, il est français. Pour Robert Pirès : “Il n’aura pas droit à l’erreur”. C’est une lapalissade, parce qu’en fait, qu’il soit Blanc ou pas, aurait-il droit à l’erreur ? Actuellement que voit-on si ne n’est la grande valse des coachs pour satisfaire souvent la pression des supporters fanatiques, des intégristes du club. Le défi premier de Laurent Blanc sera avant tout de gérer correctement les susceptibilités et les égos surdimensionnés des stars du PSG. Par ailleurs, cette nomination a de nombreux avantages. Tout d’abord un coût plus divisé par six par rapport à Ancelotti et un contrat d’un an renouvelable ou pas en forme de siège éjectable. Pour Guy Roux qui l’a bien connu Laurent Blanc est un choix judicieux pour Paris parce qu” : “il connait très bien le foot-bal dans tous ces aspects”. Bien évidemment ce choix pour les supporters n’est certainement pas assez prestigieux, parce qui vient d’ailleurs est toujours mieux,  mais ils auront tout loisir dans l’année à venir de donner de la voix.