Vanessa à nouveau au Paradis
Samedi 31 mai 2014Vanessa Paradis ces derniers mois n’a jamais cessé de faire les unes des journaux People. Ce fut tout d’abord parce qu’elle se séparait de Johnny Depp après 14 ans de vie commune et deux enfants, puis ce fut pour parler de sa nouvelle vie. Elle était encore à Los Angeles que déjà Benjamin Biolay lui envoyait des MP3 et lui a proposé de produire et de réaliser, Love Song dont il a signé pas moins de 8 titres.
Ce 6e album studio fut l’écrin d’une rencontre entre deux artistes qui ont le même âge, les mêmes goûts musicaux et parlent à l’unisson. Quand Love Song a valu une Victoire de la musique à Vanessa, elle fit passer celui qui était dans l’ombre en pleine lumière sur scène à ses côtés en disant : “Cette Victoire, je voulais la partager avec le si talentueux Benjamin Biolay”. La messe est dite, pendant qu’elle chante il la mange des yeux depuis ils sont inséparables. Vanessa Paradis avoue dans une interview à Paris Mach que Benjamin fut sa bouffée d’oxygène alors qu’elle était en pleine plongée. Entre la France et les USA, la musique et le cinéma, son coeur n’a cessé de balancer, maintenant elle a le sentiment que Benjamin lui a permis de renouer avec son identité profonde. Elle ajoute : “On aurait pu avant …Mais la rencontre a été si forte à ce stade de notre vie, c’est très bien.”




“J’éprouve une véritable fascination pour les voitures de sport en général, et les Ferrari en particulier”, confie-t-il à Paris Match. Une passion née lorsqu’un ami de son père lui fait faire un tour de Testarossa. “J’avais 4 ans …Je ne voyais même pas la route, mais ce fut un moment inoubliable avec des sensations complètement incroyables. Un mélange d’excitation et de peur. Depuis, la passion ne m’a jamais quitté.” Il arrive trop souvent que la passion mécanique sur route tue. Ce fut le cas dimanche soir sur l’A13, sous le tunnel de Saint-Cloud près de Paris. Jocelyn Quivrin perd le contrôle de son Ariel Atom, puissant biplace à la carrosserie ouverte plus radicale qu’une Porsche ou qu’une Ferrari. Il avait 30 ans. Il s’était illustré dans près de 30 films et de nombreux téléfilms où il semblait abonné aux seconds rôles. Il disait non sans humour : “Je suis un jeune vieil acteur”. Compagnon à la ville comme à l’écran de l’actrice Alice Taglioni, ils avaient eu en mars dernier un petit garçon. Même s’il était moins connu que James Dean, il était tout de même considéré comme la relève du cinéma français, il meurt comme lui, trop jeune, au volant de son bolide.