Articles taggés avec ‘Tahar Rahim’

Ils sont nés ou morts un 4 juillet

Lundi 4 juillet 2016

Tahar Rahim

L’acteur français, Tahar Rahim, est né le 4 juillet 1981 à Belfort en France.

Robert-Louis Dreyfus

L’homme d’affaires suisse d’origine française, Robert Louis-Dreyfus, parfois abrégé RLD, est mort le 4 juillet 2009 à Zurich1, en Suisse.

Ils sont nés ou morts un 4 juillet

Samedi 4 juillet 2015

Tahar Rahim

L’acteur français, Tahar Rahim, est né le 4 juillet 1981 à Belfort en France.

Robert-Louis Dreyfus

L’homme d’affaires suisse d’origine française, Robert Louis-Dreyfus, parfois abrégé RLD, est mort le 4 juillet 2009 à Zurich1, en Suisse.

Samba incontournable

Mercredi 15 octobre 2014

Quand on s’appelle Eric Toledano, Olivier Nakache et que l’on a réalisé Intouchables vu par 51 millions de spectateurs dans le monde, il est difficile de refaire un film sans avoir une pression incroyable. Olivier Nakache explique qu’ : Après Intouchables, on s’est senti la responsabilité de traiter d’un sujet grave en réaction à un discours de haine”

Pourtant Samba, leur nouveau film, sort demain sur nos écrans.

Samba c’est le nom d’un sans-papiers sénégalais joué par Omar Sy qui rencontre une cadre supérieur victime d’un burn-out, bénévole de l’association Aide,  interprétée par la craquante Charlotte Gainsbourg. Pour Omar c’est ici un vrai rôle de composition. Il explique : “J’ai dû effacer le sourire de ma voix.” Il parle aussi de la pression que lui a mis sans le vouloir la chevronnée Charlotte Gainsbourg.

Ce n’est que le deuxième film d’Azia Higelin et c’est plutôt prometteur.

Quant à Tahar Rahim c’est pour lui la première comédie, mais le talent n’a pas de frontière. Il reste maintenant à connaître l’accueil de ce nouveau film qui joue une fois encore la partition d’une rencontre improbable entre deux milieux sociaux qui s’ignorent et que des circonstances exceptionnelles amènent à se fréquenter et plus si affinités.  Après avoir vu Intouchables, voilà me semble-t-il un nouveau film incontournable.

Gibraltrar sur vos écrans

Jeudi 12 septembre 2013

Le scénariste de Mesrine ou d’un Prophète, Abdel Raouf Dafri, a adapté le livre de Marc Fiévet , l’Aviseur, et a travaillé avec le réalisateur Julien Lecrec pendant près d’un an avant de tourner Gibraltar. Pour son troisième long métrage le jeune metteur en scène s’est inspiré de faits réels et a souhaité :”faire un polar sous tension au Soleil”. Voilà donc une histoire qui se passe dans l’univers trouble des narcotrafiquants. Marc, un français expatrié à Gibraltar, interprété par Gilles Lellouche, joue un infiltré pour le compte des douanes françaises.

Voilà l’occasion de voir un action un très bon trio masculin, avec Gilles Lellouche,  l’incontournable Tahar Rahim  et le charismatique Ricardo Scamarcio dans le rôle d’un puissant importateur de cocaïne.  Sur ce film la presse comme souvent est très partagée. Pour le Monde  ”c’est une reconstitution précise mais sans pesanteur”, pour le Figaro “rien ne sonne vrai”. L’important n’est-il pas de se faire une idée personnelle avant tout ? Alors bonne toile !

Un film, A perdre la raison

Jeudi 23 août 2012

A perdre la raison, on peut aimer et même adorer… Rien qu’en lisant le synopsis du nouveau film avec Niels Arestrup et Tahar Rahim, on a envie de se précipiter dans une salle climatisée pas seulement pour échapper à la canicule mais aussi pour découvrir le film de Joachim Lafosse, un jeune réalisateur qui a déjà obtenu 29 nominations sans jamais décrocher un prix, trop jeune sans doute. Mais ce n’est pas tout. Pour ce film la jeune Belge Emilie Dequenne a obtenir le prix d’interprétation féminine pour son le rôle de Murielle. La nouvelle génération d’acteurs est assurée et ils assurent. Voilà encore un film avec Emilie Duquenne et Tahar Rahim qui va cartonner, ou qui devrait cartonner… Cet acteur fait mouche très souvent lors de ses passages sur le grand écran, et l’on peut souvent choisir les films où il est, comme référence, pourvu que ça dure.

Des hommes libres au cinéma

Mercredi 28 septembre 2011

Les hommes libres, film de Ismaed Fenoukh,i nous parle des “hommes invisibles”, des travailleurs maghrébins, surtout  des Algériens qui se sont engagés dans les réseaux de luttes. Le réalisateur évoque une situation véritablement  paradoxale puisque ces hommes “venaient d’un pays colonisé pour se retrouver dans un pays occupé” et se sont engagés pour combattre l’occupant allemand. Il nous révèle le rôle méconnu de la Grande Mosquée de Paris à cette époque,  et de Ben Ghabrit son fondateur, qui fut un résistant. Michael Lonsdale a été choisi pour incarner ce personnage “à cause de la puissance spirituelle qui se dégage de son jeu d’acteur”. Younes, interprété par Tahar Rahim, jeune ouvrier algérien arrêté pour marché noir, accepte de collaborer et d’espionner les responsables de la mosquée soupçonnés de délivrer des faux papiers à des Juifs.  Sa rencontre avec Salim Halali, qu’il découvre  juif, va petit à petit le métamorphoser en militant de la liberté. Ismaed Fenoukhi reconnait que son film à bien des égards porte le sceau et l’influence du film L’armée des ombres de Melville. Voilà un film ambitieux et très documenté, au casting de haut vol qui nous fait découvrir une page d’histoire méconnue des Français et nous montre comment des Musulmans ont sauvé des Juifs du Nazisme.

Let’s Recap…récapitulon

Dimanche 11 avril 2010

Jacques Audiard au delà de la gloire

Mardi 2 mars 2010

jacques-audiardSi le cinéma est riche de dynasties célèbres, Audiard est un label dans le 7e Art qui ravit l’Académie des César. Après Michel qui nous a si souvent époustouflé par la qualité de ses scenarii à la verve inimitable, voilà le fils Jacques qui réalise et finalise une marque de fabrique sans commune mesure. Son film, Un Prophète, déjà grand prix du festival de Cannes, Prix Louis Delluc 2009, Prix du meilleur film au festival de Londres et dans la course aux Oscars, rafle pas moins de neuf récompenses lors de la 35e cérémonie des César. Son acteur, Tahar Rahim, 28 ans , reçoit même,  et c’est une première, le prix du meilleur espoir masculin et du meilleur acteur. Quant à Audiard, coutumier du fait, il reçoit le prix du meilleur film et du meilleur réalisateur. Pour la petite histoire, il faut tout de même noter que Jacques Audiard avait déjà reçu trois César pour Sur mes lèvres en 2001 et huit pour De battre mon cœur s’est arrêté en 2006, excusez du peu. Au sommet de sa gloire, Un Prophète a battu tous les records, il ne manque plus maintenant qu’à installer sur son piédestal, un Oscar, on peut toujours y croire.