Articles taggés avec ‘Albert Dupontel’

Ils sont nés ou morts un 11 janvier

Jeudi 11 janvier 2024

L’ acteur, réalisateur, scénariste et humoriste français Albert Dupontel, de son vrai nom Philippe Guillaume1, est né le 11 janvier 1964 à Saint-Germain-en-Laye.

L’ acteur français Bernard Blier est né à Buenos Aires le 11 janvier 1916.

Le réalisateur français, né à Tulle en Corrèze le 21 mars 1920 Éric Rohmer, de son nom d’état-civil Maurice Henri Joseph Schérer, est mort le 11 janvier 2010 à Paris.

Jérôme Kerviel , né le 11 janvier 1977 à Pont-l’Abbé (Finistère), est un ancien opérateur de marché français, salarié de la Société générale de 2005 à 2008.

Ariel Sharon, né Ariel Scheinermann le 26 février 1928 à Kfar Malal et mort le 11 janvier 2014 à Ramat Gan, est un général et homme d’État israélien, Premier ministre d’Israël de 2001 à 2006. Il s’illustre militairement au cours des guerres israélo-arabes de 1948, de Suez, des Six Jours et du Kippour.

Ils sont nés ou morts un 11 janvier

Samedi 11 janvier 2020

Albert Dupontel

L’ acteur, réalisateur, scénariste et humoriste français Albert Dupontel, de son vrai nom Philippe Guillaume, est né le 11 janvier 1964 à Saint-Germain-en-Laye.

Bernard Blier

L’ acteur français Bernard Blier est né à Buenos Aires le 11 janvier 1916.

Éric Rohmer

Le réalisateur français, né à Tulle en Corrèze le 21 mars 1920 Éric Rohmer, de son nom d’état-civil Maurice Henri Joseph Schérer, est mort le 11 janvier 2010 à Paris. Pour en savoir plus cliquez ici

Dupontel a encore frappé, bilan, 9 mois ferme

Mercredi 16 octobre 2013

Pour son cinquième long métrage, Albert Dupontel fait un duo de choc avec Sandrine kiberlain dans 9 mois ferme. Ariane une jeune juge de la cour d’Appel de Paris aux moeurs strictes, une célibataire endurcie se retrouve enceinte, mais ne se souvient plus de rien.

Après une recherche de paternité il s’avère que le père n’est autre que Bob, un dangereux psychopathe, une criminel poursuivi pour une terrible agression. Que lui est-il arrivée ? Elle cherche à comprendre, nous aussi. Voilà c’est du Dupontel tout craché, qui sous-tend derrière un humour trash ses véritables obsessions comme : ” l’origine, l’hérédité, la paternité”.

Quand on sait qu’il fait jouer son mentor, le Monty Pytbon Terry Gilliam on peut déjà mesurer comment le réalisateur a choisi de croquer un monde souvent injuste, dont il vaut mieux rire que pleurer.

C’est un festival au niveau du casting. Albert Dupontel s’entoure pour cette création, courte et efficace comme un éclat de rire, d’une équipe d’habitués comme Yolande Moreau qui joue sa mère dans le film. Voilà un film qui est fait par un esprit indépendant  et vif plein d’inventivité qui tisse là comédie et  tragédie comme il l’a fait de son rôle clownesque face à celui d’une juge incarnant  la rigueur. En fait tout est dit dans le titre du film, 9 mois ferme. L’absurde ici est à son comble aussi faut-il consommer sans modération quand s’est fait avec autant de talent.

Le Grand Soir pour aller au cinéma

Mercredi 6 juin 2012

Un film qui a été sélectionné au 65e festival de Cannes c’est déjà un gage de qualité, mais le Grand Soir  signé par le Duo Kerven Delepine  a été visionné dans la catégorie “Un certain Regard”, c’est tout dire. Ce tandem de réalisateurs signe ici leur cinquième film depuis Aaltra en 2004. Un autre couple mais cette fois ci inédit, Benoît Poelvoorde et Albert Dupontel,   intervient dans cette nouvelle réalisation du duo grolandais. Ce fut pour les réalisateurs, qui les avaient fait déjà apparaître l’un ou l’autre dans leurs précédents films, un véritable challenge de les réunir.

Mais le casting réserve encore des surprises. C’est une première apparition au cinéma de Brigitte Fontaine, qui en un premier temps à refuser le rôle, mais qui a fini par se laisser convaincre d’être “la sorcière qui fume dans la forêt”. Petite anecdote, le vilain “clébard’ qui accompagne Poelvoorde dans l’histoire, est tout le contraire du gentil toutou de The Artist, ce vrai chien à Punk a mordu bon nombre de gens sur le plateau et le premier assistant s’est même retrouvé à l’hôpital. Voilà un film qui ne manque pas d’arguments et de mordant pour aller visionner cette histoire d’hommes en crise en temps de crise, le tout criant de vérité .