Articles taggés avec ‘Aung San Suu Kyi’

Elle est née un 19 juin

Mercredi 19 juin 2024

Anne Hidalgo

La femme politique française, Anne Hidalgo,est née le 19 juin 1959 à San Fernando (Espagne). Elle est membre du Parti socialiste depuis 1994.

Ayman al-Zaouahiri

Le chef du réseau terroriste Al-Qaida, Ayman al-Zaouahiri, est né le 19 juin 1951 en banlieue du Caire en Égypte.

Mouammar Kadhafi

Mouammar Kadhafi  est né le 19 juin 1942 à Qasr Abou Hadi.Communément appelé le colonel Kadhafi, c’est un militaire, homme d’État et idéologue politique libyen.

Jean Dujardin

L’acteur, humoriste, scénariste, réalisateur et producteur de cinéma français, Jean Dujardin est né le 19 juin 1972 à Rueil-Malmaison.

Jérôme Cahuzac

L’homme politique français, Jérôme Cahuzac, est né le 19 juin 1952 à Talence (Gironde).

Sir Ahmed Salman Rushdie, né le 19 juin 1947 à Bombay, est un écrivain britannique d’origine indienne. Son style narratif, mêlant mythe et fantaisie avec la vie réelle, a été qualifié de réalisme magique.

Alexander Boris de Pfeffel Johnson, dit Boris Johnson, né le 19 juin 1964 à New York, est un homme d’État britannique. Il est chef du Parti conservateur et Premier ministre du Royaume-Uni depuis 2019. Après ses études, il se fait connaître comme journaliste dans les grands quotidiens

Nadia Zighem, dite Nâdiya, est une chanteuse française, née le 19 juin 1973 à Tours, en Indre-et-Loire.

Aung-san-suu-kyi

Daw Aung San Suu Kyi, née le 19 juin 1945 à Rangoun, est une femme d’État birmane. Figure de l’opposition non violente à la dictature militaire de son pays, lauréate du prix Nobel de la paix en 1991, elle est de facto chef du gouvernement de 2016 à 2021.

Yves Robert, né le 19 juin 1920 à Saumur, et mort le 10 mai 2002 à Paris 6ᵉ, est un réalisateur, scénariste, acteur et producteur français.

Michel Colucci, dit Coluche, est un humoriste et comédien français, né le 28 octobre 1944 à Paris 14ᵉ et mort le 19 juin 1986 à Opio. Fils d’un immigré italien et d’une Française, Michel Colucci grandit à Montrouge. Il adopte le pseudonyme « Coluche » à l’âge de 26 ans, au tout début de sa carrière.

Agnès Pannier-Runacher

Agnès Pannier-Runacher, née Agnès Runacher le 19 juin 1974 à Paris, est une haute fonctionnaire, cadre d’entreprise et femme politique française. Le 16 octobre 2018, elle est nommée secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire.

Les femmes sont-elles d’hyper communicantes?

Lundi 20 août 2012

Par temps de canicule on peut se poser des questions essentielles comme celle ci . Les femmes sont-elles d’hyper communicantes?

Si l’on se retourne un peu sur les événements d’un passé contemporain, on se rend compte que pas mal de femmes ont su rallier la populace ou l’élite intellectuelle à leur cause de façon incroyable. Ce fut le cas de de Loubna au Soudan

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ou de Aung San su uKyi en Birmanie.

Ce fut le cas d’Ingrid Bettancourt

enlevée par les farcs ou plus récemment les Ukrainiennes qui ont su exhiber leurs seins pour gagner l’attention à leur cause. Dernier cas en date,   3 jeunes russes, chanteuses punk du groupe Pussy Riot viennent d’être condamnées à 2 ans de camp pour une ” prière contre  Vladimir Poutine en pleine cathédrale Orthodoxe de Moscou.

Toutes ces femmes là ont une droit à un véritable battage médiatique relayé par la presse internationale. Ont-elles un véritable don pour la communication ou sont elles de meilleurs sujets permettant une couverture médiatique à sensation ? Une femme émeut certainement plus …elle .charme aussi davantage, surtout si elles sont moches comme les Ukrainiennes. Un fait reste certain elles font vendre plus de journaux ..

Le visage de la semaine selon Nalair

Dimanche 1 juillet 2012

Les articles qui lui sont consacrés sont très nombreux depuis ces trois dernières années

Aung san suu  Kyi ne se considère pas pourtant comme une icône même si pour beaucoup elle symbolise la détermination

vous pouvez lire en cliquant ici

ou encore ici

ou là

elle est au centre de tous les combats mais aussi de toutes les espérances et pourtant

Passant de la prison à la résidence surveillée elle revient au cachot

Aung san suu Kyi à Paris

Jeudi 28 juin 2012

Il y a 21 ans Aung san suu Kyi recevait le prix Nobel de la Paix, et c’est seulement le 16 juin  qu’elle a pu se rendre personnellement à Oslo récupérer son prix et prononcer enfin son discours de récipiendaire. Lors de ce discours emprunt d’émotion, avec une grande détermination elle n’a pas épargné, ni le régime passé ni l’ actuel de son pays, se montrant d’un “optimisme prudent”, mais elle s’est dite prête à jouer ” tout son rôle” pour faciliter l’ouverture et la poursuite de son combat pour la démocratie. En Birmanie ses paroles sans concession auraient provoquées en haut lieu de véritables colères dit-on. Cet événement peut être considéré comme “le plus remarquable de l’histoire des Nobel”. Enfin la dame de Rangoun peut profiter des ovations de l’Europe. Que ce soit en Suisse à Dublin ou à Londres elle est saluée partout pour son engagement politique depuis 1988 où elle quitta le Royaume-Uni pour marcher dans les pas de son père assassiné. Pendant trois jours, et pour mettre un terme à son périple en Europe, Aung san suu Kyi  s’est rendue en France où elle a été reçue par François Hollande comme un véritable chef d’Etat alors que dans son pays elle n’est qu’un simple député. Paris célèbre la célèbre opposante Birmane et Bertrand Delanoë lui a remis en main propre un diplôme de citoyenne d’honneur de la ville qui lui avait été décerné en 2004 alors qu’elle était assignée à résidence. Elle rencontrera aussi les présidents de l’Assemblée Nationale et du Sénat ainsi que de nombreuses ONG. Aung san suu Kyi déclare lors d’une de ses multiples interviews : “Je ne suis pas une icône. Les icônes ne font pas grand chose et moi je travaille beaucoup”. Il reste en effet bien du chemin et la route est comme elle dit ” chaotique, tortueuse ou inexistante “, et il faudra encore bien du courage pour en voir l’esquisse qui mènerait son pays vers plus de démocratie.

Lueur d’espoir en Birmanie

Lundi 2 avril 2012

Dimanche l’Occident avait les yeux rivés sur l’un des pays les plus fermés de la terre, la Birmanie. Pourtant à priori des élections législatives partielles ne devraient en rien passionner à ce point les médias. Mais voilà, Aung San Suu Kyi,  icône de l’opposition birmane, qui a passé quinze années en détention depuis 1989, se présentait pour la première fois devant les électeurs sous la bannière de son parti le LND, dans la circonscription rurale de Kahwmu, au sud de Rangoun. “Aung San Suu Kyi a remporté 82% des voix” a assuré Tin Oo, un cadre de la LND. En fait, même si son élection ne fait aucun doute, les résultats ne seront officialisés que dans une semaine . Cette première historique va-t-elle convaincre les Occidentaux d’assouplir leurs sanctions à l’égard du régime, devenu civil il y a un an après un demi-siècle de dictature militaire ? Mais déjà dans le rang des démocrates, certains voient ce passage par les urnes comme une forme de trahison, une  collaboration avec la junte militaire. Il n’en reste pas moins que cette élection de la lauréate du prix Nobel de la paix 1991, même s’il elle semble anecdotique,  est un bel espoir pour l’avenir de la démocratie en Birmanie.

La Birmanie sous les regards de l’occident

Mardi 17 janvier 2012

Les choses évoluent de manière favorable pour la Dame de Rangoun à qui la junte, continuant son ouverture, promet un poste officiel au terme des prochaines élections législatives qui auront lieu en Avril. Une rencontre avec le président Thein Sein semble avoir scellé un accort. « Je lui fais confiance, car il a tenu sa promesse et rendu possible l’enregistrement de notre formation ». Les grandes puissances occidentales, USA en tête avec la présence très remarquée d’Hilary Clinton, viennent rencontrer la prix Nobel pour cautionner cette possibilité d’approche de diplomatie en Birmanie. Mais Aung San Suu Kyi évite tout triomphalisme primaire, et déclare : « Il faut être humble, il faut briguer les suffrages du peuple, c’est indispensable dans une démocratie représentative moderne ». Alain Juppé va à son tour à sa rencontre et lui remet au nom de l’Etat Français la Légion d’honneur. Optimiste en disant que « Rien n’est irréversible » elle en reste pas moins prudente et dit que son pays n’est toujours pas à l’abri d’un « coup militaire ».

Le 11 septembre 2011,10 ans déjà

Lundi 12 septembre 2011

Kalid Cheikh Mohammed,(KCM) dit “le cerveau”, auteur présumé de l’attentat terroriste du  11 septembre et des tours jumelles du Word Trade Center, fut arrêté en 2003 et sera transféré secrètement en septembre 2006 au camp de Guantanamo. Son Procès devant un tribunal militaire, a commencé en 2008, KMC revenant sur son implication dans les attentats avait déclaré s’adressant au juge :”Tout cela avait été extorqué sous la torture, vous le savez bien”. Avec l’élection de Barack Obama en janvier 2009, le procès fut suspendu et l’administration Obama souhaitait le voir juger, avec ses complices,  par un tribunal de droit commun à New York. Le Congrès s’étant opposé à son retour sur le sol américain, le procès n’a donc jamais eu lieu et depuis l’administration Obama a dû faire volte-face indiquant que son procès aurait bien lieu, en fin de compte,  devant un tribunal militaire d’exception à Guantanamo. Nous voilà donc, semble-t-il, revenu à la case départ ou presque.

Il y a eu pourtant en fait majeur qui marquera l’année 2011, sorte de revanche contre le terroriste et Al Qaïda en particulier, c’est la mort d’Oussama Ben Laden. Il n’y a certainement pas de hasard si cet événement est survenu en 2011 alors que sa cache avait été repérée et surveillée depuis août 2010. La crainte d’une vengeance  reste très forte et les cérémonies commémoratives se sont déroulées sous très haute surveillance. Reste en place le cerveau “idéologique” d’Al Qaïda, Ayman al-Zawahiri, actuel leader du mouvement qui continue à menacer les infidèles avec toujours autant de véhémence. La guerre contre le terrorisme a évidemment pris une autre dimension, le 11 septembre 2001, le monde occidental et plus particulièrement les Etats-Unis ont pris conscience de leur vulnérabilité chronique, et reste traumatisé, une décennie après un tel événement.

Aung San Suu Kyi enfin libre

Jeudi 18 novembre 2010

C’est fait, après sept ans de résidence surveillée, Aung San Suu Kyi a enfin été libérée le 13 novembre 2010 par la junte Birmane. Une foule compacte de sympathisants s’est amassée pour l’occasion devant la villa occupée par la prix Nobel de la Paix 1991. Dès le lendemain de sa libération on peut constater qu’elle n’a rien perdu de sa verve et lance un appel à la liberté d’expression. L’heure est à la joie, à l’espoir retrouvé pour les opposants à la junte. Elle souhaite travailler “main dans la main avec les autres force démocratiques”  et déclare que : “Le moment est venue où la Birmanie a besoin d’aide”. Maintenant reste à savoir ce qui est prévu à l’avenir pour celle qui a été en détention quinze des vingt et une dernières années. Il est peu probable que la junte laisse l’opposante rejouer un rôle déterminant dans le pays sans broncher.

Pour en savoir plus vous pouvez lire les articles consacrés à l’opposante Birmane

De la résidence surveillée au cachot

Ban Ki-moon demande la libération immédiate de Aung San Suu KYi

Aung San Suu Kyi nouvelle condamnation cousue de fil blanc

Aung San Suu Kyi sera-t-elle exclue de son parti ?

La junte Birmane légalise la triche électorale

Mascarade d’élection en Birmanie

Mascarade d’élections en Birmanie

Lundi 8 novembre 2010

Alors que la Chine considère cette élection comme une avancée, Washington, Paris, Londres, Tokyo ou Bruxelles ont dénoncé cette mascarade d’élection. Déjà la Junte au pouvoir s’est attribuée 25% des sièges qui seront militaires. Le Dr Than Nyein, président de la Force démocratique nationale (NDF) évoque des tricheries. Du reste ces dernières peuvent se faire sans aucun contrôle puisque tous les observateurs étrangers ont été interdits. “La stratégie générale était de tout verrouiller avant même d’organiser les élections”, estime Donna Guest, d’Amnesty International. C’est ainsi que Mme Suu Kyi a été totalement isolée, en résidence surveillée depuis 2003 et que son parti le LND, Ligue Nationale pour la démocratie a été dissous. Rappelons tout de même pour mémoire que le dernier scrutin a eu lieu en 1990 et qu’il fut remporté par leader de la LND. Cet dernière n’a jamais pu accéder au pouvoir et c’est Than Shwe le général tyran qui à la tête de la Junte militaire gouverne sans partage. Le terme de sa dernière peine en résidence surveillée de la prix Nobel de la paix, arrive à terme le 13 novembre, il est fort à parier que sa libération ne précédera pas le résultat des élections qui devraient être rendu public pas avant une dizaine de jours.

Let’s Recap… récapitulons

Dimanche 16 mai 2010