Articles taggés avec ‘Barack Obama’

Let’s Recap…récapitulons

Dimanche 13 décembre 2009

Obama sur tous les fronts

Samedi 12 décembre 2009

barack-obamaAlors qu’en Indonésie, dans un parc de Jakarta, on a érigé une statue destinée à “inspirer et encourager les enfants indonésiens à réaliser leurs rêves”, à l’image de Barack Obama, à Oslo, le président reçoit son prix Nobel de la Paix, au moment même où le proverbe latin, “Si vis pacem, para bellum” (Si tu veux la paix, prépare la guerre), semble terriblement d’actualité. En effet, sa politique d’envoi de troupes supplémentaires en Afghanistan tombe plutôt mal. Elle lui a valu, du reste, de violentes critiques de la part de son camp qui se dit déçu et trahi. Aussi, c’est “avec une profonde gratitude et une grande humilité” qu’il a reçu ce Nobel de la Paix, justifiant son choix et affirmant qu’il n’y “aucune ambiguïté” sur la date de juillet 2011 pour entamer le retrait des troupes américaines d’Afghanistan. Décidément sur tous les fronts, Obama est attendu comme le Messie au sommet de Copenhague. Il faut dire que, pour la première fois de l’histoire, l’Amérique s’engage, à travers lui, dans le combat contre le réchauffement climatique. Obama agace autant qu’il fascine, il semble identifier un monde nouveau qui se met en marche. Même si à trop espérer on ne peut qu’être déçu, il n’en reste pas moins, qu’en un an à peine, l’Obamania, véritable phénomène mondial, est proche de son paroxysme.

Let’s Recap…récapitulons

Dimanche 18 octobre 2009

Barak Obama, un Nobel qui ne laisse guère en paix

Lundi 12 octobre 2009

barack-obama

Contre toute attente , sur 205 candidats, c’est le président américain Barack Obama qui a reçu le prix Nobel de la paix 2009. Il a été attribué au président  Américain “pour ses efforts extraordinaires en vue de renforcer la diplomatie internationale et la coopération entre les peuples”, a annoncé le comité Nobel Norvégien, indiquant avoir “attaché beaucoup d’importance à la vision et aux efforts d’Obama en vue d’un monde sans armes nucléaires”. Nicolas Sarkozy était aussi en lice pour le prix mais il a dû s’incliner face à celui qui rafle tous les suffrage de sympathie des Européens. Voilà un lot de consolation mémorable pour celui qui n’a obtenu les JO pour la ville de Chicago. François Durpaire, politologue et auteur d’”Obama face à la crise” pense que : “il s’agit ici d’un encouragement plutôt que la récompense d’un bilan” et précise que : “Le but du Nobel, il ne faut pas l’oublier, est de faire avancer la paix dans le monde.” En Amérique les conservateurs dans l’ensemble raillent l’obtention de ce prix à Obama. Seul bémol, la réaction de John Mc Cain bon joueur qui déclare : “Je suis sûr que le président comprend qu’il doit maintenant  se montrer à la hauteur. Mais en tant qu’Américains, nous sommes fiers quand notre président reçoit une récompense aussi prestigieuse”.  C’est à croire que la citation biblique  : “Nul n’est prophète en son pays”, s’applique aussi au président Américain Barack Obama.

Ayman al-Zawahiri menace ouvertement la France

Mardi 11 août 2009

ayman-al-zawahiriL’organisation islamique Al-Qaïda menace à nouveau la France au travers d’une diarrhée verbale de son numéro deux, Ayman al-Zawahiri. Répondant à une question d’un site islamiste sur l’hostilité hexagonale au port du hijab, le chef d’Al-Qaïda a répondu : ” La France prétend être un pays laïque alors que son cœur est plein de haine pour les musulmans”. Fin juin, la branche maghrébine de la même organisation avait menacé de se venger de la France après que  a déclaré que la burqa n’y était pas la bienvenue. Il a violemment pris la France comme cible à cause de son hostilité au voile islamique, assurant que le pays “va payer pour tous ses crimes”. Il a affirmé notamment qu’”Israël” est un  crime qui doit être éliminé” et que les musulmans n’accepteront jamais la solution de deux Etats, un Israélien et un Palestinien. Pour lui, la france, durant son histoire , a “soutenu les juifs dans leurs efforts de prendre contrôle de la Palestine” (…) a combattu les Arabes en Algérie et a “fourni à Israël son réacteur nucléaire”. Au passage, Zawahiri dit également ne pas voir de différence entre la politique du président américain Barack Obama et celle de ses prédécesseurs, le qualifiant notamment de “criminel” et de “menteur”. Voilà, comme cela il y en a pour tout le monde. Ce n’est pas la première ni certainement la dernière que Zawahiri utilise le terrorisme verbal, c’est même un coutumier du fait.

lire aussi :

Terroriste jusque dans ses propos injurieux.

Let’s Recap, récapitulons

Dimanche 9 août 2009

Happy birthday Mr President

Mardi 4 août 2009

barack-obamaBarack Obama fête très sobrement ses 48 printemps. Pas de Marilyn pour lui chanter d’une voix  sucrée en se tortillant d’aise : ” Happy birthday Mr President “, mais seulement Michèle, sa belle qui lui fredonnera des mots de tous les jours, peut être des mots d’amour…

I love you, I love you, I love you

That’s all I want to say…

I need to, I need to , I need to

I need to make you see

Until I do I’m hoping you will

Know what I mean…

Seule ombre au tableau de cette journée où tout lui sourit, de mystérieux posters d’Obama Joker placardés à Los Angeles. “Les moqueries commencent avec le désenchantement “, raille AmericanThinker. Ici et là, des commentaires “Why so socialist” détournant le “Why so serious” d’Heath Leger, s’en prennent au plan de réforme de l’assurance maladie souhaité par le président.  A l’heure ou certains présidents sont en convalescence, lui semble épanoui. Nous lui souhaitons donc une bonne santé et pourvu que ça dure, comme disait la mère de Napoléon.

G 20, tout le monde il est beau, tout le monde il est content

Samedi 4 avril 2009

barack-obamaLes effets d’annonce vont bon train, tout le monde a gagné!  Quoi ?  On ne sait pas trop, mais c’est eux qui le disent ! Du jamais vu, la crise non plus, à priori ! Dominique Strauss-Kahn, directeur général du FMI (Fonds Monétaire Internationnal), a considéré que les annonces faites par le G20 représentaient  “le plus grand plan de relance coordonné jamais décidé”. Il faut dire que compte tenu de l’ampleur des dégâts générés par le Capitalisme sauvage, on ne peut que tenter de rassurer la planète qui  court vers la faillite. Le clou du G 20, c’est bien entendu “Dieu”, noir pour l’occasion et américain. Tout le monde veut l’approcher, lui serrer la main, se faire photographier avec ce mythe vivant, l’homme actuellement le plus médiatisé au monde. Il faut dire qu’après le calamiteux Busch, Barack Obama joue sur du velours. Du reste il est reçu royalement  chez les britanniques, fer de de lance proaméricain depuis toujours, même avant la communauté européenne. Nicolas le petit quant à lui s’est déclaré heureux, à voir sa tête, il le cachait bien. Ouf, nous sommes sauvés ! Enfin on peut toujours y croire, ça par contre, ça ne coûte rien.

Barack Obama ou l’espoir d’un nouveau rêve

Mardi 20 janvier 2009

Par le voyage de 225km, qui a donné le coup d’envoi des festivités pour l’investiture du premier président noir des Etats-Unis, Barack Obama suit les traces d’Abraham Lincoln qui avait emprunté le même itinéraire en 1861.

L’attente est immense, le symbole du changement total. Même si le futur président est conscient des difficultés qui l’attendent, il multiplie les symboles forts. Barack Obama suit les pas d’un autre de ses modèles, en prenant la parole sur les marches du Lincoln Memorial, où Martin Luther King, le leader noir assassiné, a prononcé en 1963 son fameux discours “I have a dream” sur l’égalité entre Noirs et Blancs.

“Ensemble, nous savons que l’Amérique se trouve à la croisée des chemins : un pays en guerre et une économie en panne, un rêve américain qui semble s’évaporer. Le temps est venu de nous relever une fois encore”, a-t-il lancé. Un nom sonne comme celui d’un rêve américain enfin retrouvé, Barack Obama.

George W. Busch : c’est l’heure des adieux

Samedi 17 janvier 2009

S’il a reconnu “des revers”, le président sortant a défendu ses résultats dans la lutte contre le terrorisme. Il est vrai que sa présidence sera marquée par deux événements phares. Tout d’abord le 11-septembre, ou “la pire attaque contre l’Amérique depuis Pearl Harbour”, puis la guerre en Irak, son Vietnam à lui. Il a souligné “la vitalité de la démocratie américaine” avec l’accession de Barack Obama à la plus haute fonction, “un moment d’espoir et de fierté”. Il a présenté ses “voeux de réussite” à son successeur. Puis, terminant par le traditionnel “que Dieu bénisse l’Amérique et son futur président”, Georges W. Bush s’en est allé. Il ne laissera certainement pas le souvenir d’un grand président, quittant une Amérique en pleine crise, au bord du gouffre. Beaucoup considère son bilan peu glorieux pour ne pas dire calamiteux.