Articles taggés avec ‘Benicio Del Toro’

Ils sont nés un 19 février

Lundi 19 février 2024

Benicio del Toro

L’acteur portoricain naturalisé espagnol Benicio del Toro, est né le 19 février 1967 à San Germán (Porto Rico).

Jacques Dufilho

Le comédien français, Jacques Dufilho est né le 19 février 1914 à Bègles (Gironde)

Umberto Eco, né le 5 janvier 1932 à Alexandrie dans le Piémont et mort le 19 février 2016 à Milan, est un universitaire, érudit et écrivain italien.

Karl Lagerfeld, né le 10 septembre 1933 à Hambourg et mort le 19 février 2019 à Neuilly-sur-Seine, est un grand couturier et styliste allemand, également photographe, dessinateur, designer, réalisateur et éditeur. Très jeune, il révèle une affinité avec la mode.

Charles Trenet

Charles Trenet, né le 18 mai 1913 à Narbonne et mort le 19 février 2001 à Créteil, est un auteur-compositeur-interprète français



Il est né un 19 février

Vendredi 19 février 2021

Benicio del Toro

L’acteur portoricain naturalisé espagnol Benicio del Toro, est né le 19 février 1967 à San Germán (Porto Rico).

Joyeux anniversaires

Jeudi 19 février 2015

L’acteur portoricain naturalisé espagnol Benicio del Toro, est né le 19 février 1967 à San Germán (Porto Rico).

Jacques Dufilho

Le comédien français, Jacques Dufilho est né le 19 février 1914 à Bègles (Gironde)

L’histoire de Pablo Escobar enfin porté à l’écran

Mardi 4 novembre 2014

Après sa remarquable interprétation du Che, Benicio Del Toro endosse le rôle du célèbre trafiquant colombien Pablo Escobar dans Paradise Lost, le premier film d’Andrea Di Stefano. Ce dernier à la fois réalisateur et scénariste s’appuie sur des faits réels et a réalisé un vrai travail d’enquêteur sur Pablo Escobar. Ce n’est pas la première fois que l’histoire tragique du trafiquant a tenté d’être porté à l’écran, mais Paradise Lost est le seul à ce jour finalisé. Voilà qui vaut le détour.

Let’s Recap…récapitulons

Dimanche 14 février 2010

Wolfman, gore et beau

Mercredi 10 février 2010

benicio-del-toroWolfman est un remake du film culte produit par Universal en 1941, Le Loup-Garou de Georges Waggner, un classique du genre. Après un tournage chaotique, post-prod interminable, la partition de Danny Elfman un temps jetée aux oubliettes, on peut dire que ce film revient de loin. Pourtant il ne manque d’atouts ni d’attraits. Joe Johnston à priori, habitué aux grosses productions (Jumanji, Jurassic Park 3), met en scène pour l’occasion deux monstres sacrés, Anthony Hopkins et Benicio Del Toro. Il a fait appel à Rick Baker, 6 fois lauréat à l’Oscar, le spécialiste du maquillage et des effets spéciaux. Afin que Benicio Del Toro puisse bouger et s’exprimer plus librement on n’a pas utilisé de masque mais il a été grimé pendant trois heures au quotidien. “Gamin, j’ai toujours rêvé d’avoir ces grandes dents”, s’amuse le comédien. Pour couronner le tout un baryton-basse est à la base d’une douzaine de hurlements “viscéraux et terrifiants qui vous glacent le sang.” La critique partagée salue pourtant la volonté de renouer avec les grands mythes cinématographiques. Certains considèrent même que c’est gore et beau, à classer probablement comme un modèle du genre. Pour les inconditionnels, film à croquer à pleines dents.