Articles taggés avec ‘Didier Deschamps’

Il est né un 15 octobre

Dimanche 15 octobre 2023

Didier Deschamps

Didier Deschamps, né le 15 octobre 1968 à Bayonne, est un footballeur international français, reconverti en entraîneur. Depuis 2012, il est le sélectionneur de l’équipe de France. Originaire du Pays basque puis formé au FC Nantes, il évolue rapidement au poste de milieu défensif sous les couleurs nantaises.

Il est né un 15 octobre

Samedi 15 octobre 2016

Didier Deschamps

Le footballeur international français reconverti entraîneur, Didier Deschamps, est né le 15 octobre 1968 à Bayonne (Pyrénées-Atlantiques).

Il est né un 15 octobre

Jeudi 15 octobre 2015

Didier Deschamps

Le footballeur international français reconverti entraîneur, Didier Deschamps, est né le 15 octobre 1968 à Bayonne (Pyrénées-Atlantiques).

Brève du jour

Samedi 14 février 2015

Didier Deschamps, 46 ans,  a été reconduit pour deux années supplémentaires par la fédération française de foot. Il officiera jusqu’au mondial 2018 à la tête de l’équipe de France. Cette prolongation en soi n’est pas vraiment une surprise puisque c’était voulu par les deux parties.

L’actuel président de la FFF Noël le Graët

Si ce dernier ne se représente pas, il est possible que Didier Deschamps officie à la tête des bleus sous deux présidences.

Une sélection bleue sans surprises

Jeudi 15 mai 2014

Sur le plateau de TF1 mardi soir, Didier Deschamps a dévoilé qu’elle serait la composition de l’équipe de France pour le prochain mondial.

Pas de grandes surprises dans son choix où l’on connaissait déjà les incontournables, comme Franck Ribéry, Karim Benzema ou Hugo Lloris.

Le sélectionneur  annonce la liste des 23 joueurs qui feront le déplacement à Rio coupant court à un nouveau suspens. Bien évidemment il y aura 7 réservistes en cas de soucis majeurs. Pour lui il était inconcevable de faire durer l’attente  et il déclare : “Cela apporte plus de tranquillité et de sérénité dans la préparation.”

Voici donc la liste des sélectionnés

Gardiens : Lloris (Tottenham), Mandanda (Marseille), Landreau (Bastia)

Défenseurs : Sakho (Liverpool), Varane (Real Madrid), Digne (Paris), Mangala (Porto), Debuchy (Newcastle), Evra (Manchester United), Koscielny (Arsenal), Sagna (Arsenal)

Milieux : Cabaye (Paris), Grenier (Lyon), Matuidi (Paris), Mavuba (Lille), Pogba (Juventus Turin), Moussa Sissoko (Newcastle), Valbuena (Marseille)

Attaquants : Benzema (Real Madrid), Giroud (Arsenal), Griezmann (Real Sociedad), Rémy (Newcastle), Ribéry (Bayern Munich)

Nasri et Abidal ne seront pas du voyage, mais là encore ce n’est pas de vrai scoop. Même si Nasri a fait cette année une excellente saison avec Manchester City et que les anglais s’étonne de ce non choix, il est clair que son attitude en équipe de France est loin d’être du même niveau. Didier Deschamps est direct et annonce que son attitude sur le banc s’il est remplaçant est très déstabilisante pour le groupe, quant à Abidal c’est plus une question de performances qui s’étiolent. Comme dans tout choix, même s’il est sans grandes surprises, il est logique qu’il y ait des déceptions et c’est le rôle souvent ingrat du sélectionneur de les assumer.

Les bleus continuent à nous faire rêver

Jeudi 6 mars 2014

Le match amical France Pays-bas était bien entendu un test très important avant la coupe du monde qui est maintenant dans moins de 100 jours. Il s’agissait de savoir si le match retour contre l’Ukraine n’était qu’un épi phénomène ou pas. Le début du match nous laisse un peu sur notre faim quand nous voyons les néerlandais jouer le ballon et nous en priver durant de longues minutes. Mais très rapidement quelques incursions dans le camp des oranges déstabilise totalement leur défense. Le douzième joueur  des bleus joue bien évidement un rôle primordial avec ses 80 000 fans au sein d’un stade de France majoritairement tricolore. La confiance reprend ses droits et  le pilonnage des cages du portier néerlandais commence.

Après un but refusé, Karim Benzema en grande forme troue les défense et marque à la 31 e minute et nous offre pour sa 65e sélection un 19e but. Les tricolores nous offrent alors un beau spectacle à l’instar du but acrobatique d’un Blaise Matuidi omniprésent à tous les niveaux. Au terme de la première mi-temps la France mène déjà 2  à 0. Ce sera du reste le score final, et les français battent des néerlandais impuissants. C’est  pour les Pays-bas la première défaite depuis un an et demi et quelques 17 matchs.

Sans vouloir crier au miracle ou cocorico, l’équipe sélectionnée par Didier Deschamps qui fait confiance à la jeunesse comme Lucas Digne, 20 ans, et Antoine Griezmann, 22 ans, qui se comportent  de la  meilleure manière qui soit. Maintenant tout cela reste à confirmer  une nouvelle fois contre la Norvège le 27 mai.

Les bleus s’inclinent face à l’Ukraine déterminée

Samedi 16 novembre 2013

Le futur ballon d’or n’a rien pu contre une équipe d’Ukraine super efficace et combativité . Tout a été fait durant la partie pour maîtriser l’OVNI Ribéry, actuellement en super forme. En effet il a passé plus de temps à faire la culbute qu’à briller dans l’en but.

La première mi-temps Olivier Giroud n’a pu s’imposer de la tête, Il a reçu peu de ballon et n’a été en rien déterminant en pointe de cette attaque française.

En seconde mi-temps, le sélectionneur fait entrer Karim Benzema qui n’est là encore pas à la hauteur de l’enjeux.

Sur la touche, très inquiet Didier Deschamps voit les chances de sa sélection de plus en plus compromises, face à des Ukrainiens de plus en plus dangereux. En seconde période les vannes lâchent et Lloris encaisse un premier but à la 61e minutes

Les espoirs de la France, couleur du maillot de Lloris se brisent une première fois. Mais la défense des bleus sera sans cesse débordée, surtout par des attaques fulgurantes d’Ukrainiens soutenu par un stade déchaîné, qui y croit. Tout cela s’aggrave lorsque la France concède un pénalty provoqué par Koscielny et transformé comme à la parade. C’est fini, les bleus n’ont jamais été dangereux et par contre les ukrainiens n’ont jamais cessé de l’être. Ce n’est pas mission impossible au match de retour mais il faudra trouver la bonne formule, parce que ce soir  le résultat a été fort décevant et les bleus se sont logiquement inclinés face à une équipe d’Urkaine de loin plus combattive et plus déterminée que jamais à briser le barrage qui les éloigne encore de leur passeport pour le Brésil.

Les bleus font un festival

Samedi 12 octobre 2013

Face à l’Australie, déjà qualifiée pour la coupe du Monde au Brésil, on retrouve  une équipe de France métamorphosée, qui semble tout à coup savoir jouer au foot.

Il faut dire que le match commence curieusement. Ribéry transforme un pénalty qui n’était que dans les rêves de l’arbitre portugais, mais cela déclenche une véritable frénésie face à la cage des Australiens. C’est alors un véritable festival. On a l’impression de retrouver des attaquants, enfin qui ne doutent plus. Giroux dépose un ballon lobé pied gauche dans le but adverse avec délicatesse . Mais il remettra ça bientôt pied droit sans bavure. Le parc des Princes exulte. Nous avons l’impression de rêver et que rien ne peut arrêter cette machine qui parait enfin bien huilée. Ribéry distribue les ballons et les attaquants marquent que veut-on de plus, nous profitons de l’instant. Cabaye conclue e 4 ème but en moins de 30 minutes, c’est incroyable.

Deschamps face à l’avance décide  de faire rentrer à la deuxième mi-temps une grande partie du banc. Il y a un flottement évident, on a très vite l’impression que ce moment de grâce est fini. Pourtant nous verrons encore deux buts, une de Debuchy et même un de Karim Benzema  qui l’eut cru. C’est donc après 1222 min de jeu sans but en bleu que Benzema met fin à une véritable malédiction. Le public scande son nom pendant quelques minutes, il les salue sous les ovations. Il semble qu’une époque douloureuse prenne fin pour Benzema mais aussi pour les bleus qui ont produit face à des Australiens déconcertés leur meilleur jeu. Il restera maintenant à concrétiser cette mutation mardi soir  contre la Finlande. Reprendre confiance est déterminant, cela sera-t-il suffisant.

Parker comme à la parade

Lundi 9 septembre 2013

Les trois premiers quarts temps sont hyper serrés, la France mène difficilement 58 à 57 face à l’adresse insolente des ukrainiens super motivés. Après quelques minutes de repos Tony Parker fait une entrée aussi déterminante que fracassante. Il organise la révolte des bleus qui ont du mal à se défaire de cette équipe d’Ukraine. Dimanche à Ljubljana, durant les 5 dernières minutes, Tony montre qu’il est bien le patron sur le plancher en réalisant une fin de match éblouissante. Comme à la parade il engrange 15 points sur les 19 marqués, ce qui permet à la France de triompher 77à 71 face de l’Ukraine et de prendre la première place du groupe A. Il s’agit maintenant d’atteindre les 1/4 de finale, objectif annoncé par les tricolores  en cet Euro 2013.  Tony Parker reste le leader incontesté de cette équipe de France en panne d’attaque, avec 28 pts marqués, seul Boris Diaw a pu lui donner un coup de main avec 15 pts. Si seulement Deschamps avait un clone de Parker dans son équipe, cela changerait certainement la physionomie des rencontres de foot tricolores, qui se soldent par des nuls à répétition. Mais bon faut pas rêver !

Cocorico…les bleuets sont champions du Monde

Lundi 15 juillet 2013

Faut-il avoir moins de 20 ans en foot pour devenir champion du Monde ? C’est possible parce qu’à cet âge là, la flamme brûle encore mue par le feu ardent de la jeunesse.  Mais que restera-t-il de cette équipe de bleuets devenue championne du Monde ? Verra-t-on un jour quelques uns de ces bleuets poindre en équipe A ? Bien évidemment c’est pour tous le rêve absolu, mais d’ici là, la route est longue, les chances sont rares parce que les places sont chères. Une exception cependant, leur capitaine Paul Pogbaz qui fut déjà appelé par Didier Deschamps au printemps dernier, non sans soulever quelques critiques de la part des puristes. En attendant ne boudons pas notre plaisir en poussant un cocorico pour ces bleuets qui  sont devenus champions du Monde le 13 juillet en battant l’Uruguay  aux tirs au but 4 à 1. Le héros dans ces cas là est souvent le portier, et Alphonse Aréola, 3e ou 4e gardien du PSG, fut de ceux là. Voilà une belle aventure humaine et sportive de 6 semaines qui se termine pour ces jeunes de moins de 20 ans par un véritable feu d’artifice nationale.