Articles taggés avec ‘Kad Merad’

Ils sont nés le 27 mars

Dimanche 27 mars 2016

Quentin Tarantino

Le réalisateur, scénariste, producteur et acteur américain Quentin Tarantino, est né le 27 mars 1963 à Knoxville dans le Tennessee.

Kad Merad

Le comédien, humoriste et réalisateur franco-algérien1, Kad Merad, de son vrai nom Kadour Merad, est né le 27 mars 1964 à Sidi Bel Abbès en Algérie

Joyeux anniversaires

Vendredi 27 mars 2015

Le réalisateur, scénariste, producteur et acteur américain Quentin Tarantino, est né le 27 mars 1963 à Knoxville dans le Tennessee.

Le musicien, chanteur mais aussi peintre et illustrateur Arthur H, de son vrai nom Arthur Higelin, est né le 27 mars 1966 à Paris,. Il est le fils du chanteur Jacques Higelin.

Le comédien, humoriste et réalisateur franco-algérien1, Kad Merad, de son vrai nom Kadour Merad, est né le 27 mars 1964 à Sidi Bel Abbès en Algérie

Super hyper hypocondriaque

Mardi 18 mars 2014

Décidément Dany Boon, s’il n’a pas l’art de faire de film géniaux, il a le génie de le faire croire à plus de 4 millions de gens. Après “Les Ch’tis” en 2011 qui a fait un véritable record d’audience, on comprend très bien quelle est son approche.Il réalise une grosse comédie populaire, lourde et indigeste, qu’il lance toujours chez les Ch’tis,  se réclamant des leurs, et eux le cautionnant quoiqu’il fasse, parce que c’est l’enfant du pays. On prend les mêmes comme Kad Merad  et on recommence, on ne change pas une équipe qui gagne, il ne s’agit pas non plus de brouiller les codes. Là il s’attaque au mal le plus partager par les hommes de la planète et qui fait rire aux larmes les femmes qui les reconnaissent très bien puisqu’elle le vivent au quotidien. Franchement ce n’est pas ma tasse de thé, j’ai vu les ch’tis alors que le phénomène se calmait un peu et  j’ai trouvé ça plutôt plat, cherchant en vain ce qui avait déclenché une telle hilarité sociale. Mais bon l’humour et le rire qui l’accompagne est une question de prérequis de culture  et à priori je n’ai pas celle de Dany Boonn, donc je passerai le remède anti morosité annoncé par sa pub, pour le printemps du cinéma. Mais une chose est certaine même si l’on ne se sent pas concerné par l’événement, il faut tout de même constater que ce type de comédie à la française sauce Boon fonctionne. Donc chapeau même si ça ne me rassure pas du tout sur l’évolution du niveau culturel moyen franchouillard.  Ce film fait un carton au cinéma et malheureusement ça augure le fait que d’ici peu il va nous remettra ça ou que d’autres avec encore moins d’imagination vont l’imiter. L’argent des producteurs risque de n’aller à terme qu’à ce genre de cinéma populaire parce qu’il fait du fric. Je dois être moi aussi un grand malade mais je n’arrive pas gober ce type de remède pour devenir comme les autres et à partager leur rire. Docteur Drucker est-ce que c’est grave ?

C’est bien de voir Des gens qui s’embrassent

Mercredi 10 avril 2013

Des gens qui s’embrassent, le dernier film de Danielle Thomson est excessivement plaisant à regarder. On rit, on pleure avec les personnages qui s’ aiment ou se détestent et n’hésitent pas non plus à se trahir. Ce sont des lambeaux d’une vie pris à bras le corps au sein d’une famille juive qui a ce type d’humour si particulier mélange de délire et de finesse. Deux frères, que tout oppose, servent de fil rouge à cette narration fort bien écrite. Tout les oppose enfin presque, sauf leur père, magistralement campé par un jeune acteur de 90 ans excessivement drôle atteint de la maladie d’Alzamier les réunis par son amour, et leur filles qui s’aiment comme des soeurs. On passe de la comédie à la tragédie avec une grande légèreté. On sent que l’œil Danielle Thomson s’est nourrit de ce milieu et elle est devenue la spécialiste du film Choral des tourments familiaux, on a le sentiment qu’elle nous ressert là un peu de la Bûche gardée au frais et remis au goût du jour.

L’éternelle histoire d’amour impossible fracasse le sort des destins ennuyeux. Voilà une pléiade d’acteurs qui nous invite l’espace d’un film à vivre les turpitudes d’une famille juive de l’Europe de l’est dont les membres sont beaux doués et riches. Cela détend on oublie un instant les turpitudes de la crise en voyageant de New York à Berlin en passant par Paris et St Tropez, village où vit la réalisatrice qu’elle a parfaitement filmé. C’est un film à voir pour passer un bon moment et goûter à un monde plein de subtilités parfaitement étranger à la majorité décrit avec un grande sensibilité et une belle intelligence.

Un vieux couple se réconcilie sur la toile

Mercredi 5 décembre 2012

Près d’une décennie après le premier volet de : Mais qui a tué Pamela Rose ? Kad Merad et Olivier Baroux se retrouvent dans la peau des deux policiers incompétents et totalement has-been, Bullit et Riper pour un second film,  Mais qui a re-tué Pamela Rose?  Voilà que le couple, qui a déjà vingt ans d’âge, a décidé non seulement de jouer, mais aussi de réaliser ce deuxième opus. Pastiche, pantalonnade, absurde à gogo mêlé d’un zeste de pipi caca. C’est une franche déconnade,  et on a l’impression que les deux vieux complices se sont offert un long métrage pour Noël.  À priori les auteurs se sont bien amusés à le réaliser et à le jouer, ce qui est déjà pas mal. Ce type de comédie burlesque et absurde à la française a ses fans. Ça ne se commande pas, on aime ou on déteste. L’avantage de ce type de film, c’est qu’il est fait au mieux pour rire un bon coup et qu’ il n’est surtout pas fait pour vous faire réfléchir. Pour pas mal, c’est déjà que du bonheur. Pour les irréductibles et les nostalgiques du duo, c’est immanquable bien entendu.

Pourquoi passent-ils tous derrière la caméra ?

Jeudi 2 juin 2011

Mélange des genres, le modèle devient photographe et l’acteur de plus en plus souvent réalisateur. Est-ce là, le signe d’une insatisfaction déguisée ? Celui d’un manque de confiance des producteurs qui assurent leurs arrières ? Où est-ce tout simplement celui d’une prétention sans borne ? Cela ne doit en rien faciliter l’émergence de nouveaux réalisateurs qui ne font pas encore parti de la nomenklatura cinématographique. A force d’être filmé, l’acteur n’aurait-il plus qu’une envie, celle de regarder par l’autre bout de la lorgnette magique ? Il y aurait-il mimétisme débouchant tout droit d’un apprentissage par osmose ? Le fait est là, quelques beaux et célèbres exemples américains comme Clint Eastwood ou Jodie Foster prouvent que cela peut se faire avec brio. En France aussi les exemples ne manquent pas. Marie-France Pisier, Charlotte de Turckheim, Nicole Garcia, Agnès Jaoui  ou encore Nolwenn, les femmes sont légion à réussir plutôt bien leur mutation. Si l’on évoque Jacques Perrin ou Dany Boon entre autres on voit que les hommes aussi savent faire et obtiennent des succès incontestables.  Depuis peu deux nouveaux poids lourds du 7e art se lancent dans la bataille. Daniel Auteuil vient de réaliser la fille du puisatier et maintenant Kad Merad passe derrière la caméra à son tour et nous offre cette semaine à l’affiche Monsieur Papa, un véritable tournant dans sa carrière. Originalité du projet, c’est sa femme, la romancière Emmanuelle Cosso- Merad qui a écrit le scénario de son film. Espérons seulement que le film ne soit pas à l’image de l’affiche qui n’a rien de franchement original.

Auteil un comédien metteur en scène

Mercredi 13 avril 2011

Pour l’acteur fétiche du grand écran français voilà une véritable révolution dans son évolution de carrière. Avec La fille du Puisatier, un remake du film de Pagnol tourné en 1940, Daniel Auteil pour la première fois passe derrière la caméra. Non content d’être l’acteur principal du film, il devient directeur d’acteurs et s’en réjouit avec pour ce premier film un casting plutôt sympathique. Celui qui reprendra le rôle de Fernandel n’est autre que l’incontournable Kad Merad qui ne cesse de crever l’écran. Le rôle de Patricia, initialement prévu pour Mélanie Laurent, a été confié à la toute jeune Astrid Berges-Frisbey, une passionnée de l’œuvre de Pagnol. Pour Auteil c’est une merveilleuse manière de rendre un vibrant hommage à Pagnol, mais aussi une façon hors normes de renouer avec les paysages de son enfance. Le réalisateur acteur est parti arpenter la Provence de sa jeunesse pour en faire le théâtre de sa première réalisation. Il semble que ce coup d’essai ne restera lettre morte, puisque dès à présent Daniel Auteil envisage de réactualiser le triptyque mythique , Marius, Fanny et César. Bon vent à ce nouveau célèbre réalisateur qu’il ne cesse de nous enchanter comme il sait si bien le faire en tant qu’acteur.