Articles taggés avec ‘Luc Besson’

Il est né un 18 mars

Lundi 18 mars 2024

Arnaud Lagardère

Arnaud Lagardère est né le 18 mars 1961 à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine). Il est le fils unique de Jean-Luc Lagardère, ancien président de Matra et Hachette.

Patrick Chenais, dit Patrick Chesnais, est un acteur, réalisateur, dialoguiste et scénariste français né le 18 mars 1946 à La Garenne-Colombes.

Luc Besson est un réalisateur, producteur et scénariste français, né le 18 mars 1959 dans le 15ᵉ arrondissement de Paris. Révélé au cours des années 1980 par ses films Le Dernier Combat et Subway, il s’impose avec Le Grand Bleu, triomphe au box-office.

Arlette Laguiller

Arlette Laguiller, née le 18 mars 1940 à Paris, est une femme politique française d’extrême gauche. Militante syndicale d’inspiration trotskiste, elle intègre la direction puis devient porte-parole de Lutte ouvrière. Elle est la première femme à candidater à une élection présidentielle sous la Cinquième République.

Joyeux anniversaires

Mercredi 18 mars 2015

L’universitaire Jean Paul de Gaudemar est né le 18 mars 1947. Depuis avril 2014 il est conseiller spécial au sein du cabinet de la secrétaire d’État à l’Enseignement supérieur et la Recherche Geneviève Fioraso.

L’acteur, réalisateur, dialoguiste et scénariste français Patrick Chesnais, de son vrai nom Patrick Chenais, est né le 18 mars 1947 à La Garenne-Colombes (Hauts-de-Seine).

Le réalisateur, producteur et scénariste français, Luc Besson, est né le 18 mars 1959 dans le 15e arrondissement de Paris.

Lucy cartonne déjà aux USA

Lundi 28 juillet 2014

Lors de sa sortie ce week end, le dernier film d’anticipation de Luc Besson, Lucy, interprétée par Scarlett Johanson, fait un véritable carton et caracole en tête du box-office des salles aux USA.

Il récolte déjà plus de 17 millions de dollars, ce sera incontestablement le plus gros succès de Luc Besson après Nikita aux USA.  Ce film produit par Europacorp  sortira en France le 6 août prochain.

Le cinéma hollywoodien et ses risques d’implosion

Vendredi 14 juin 2013

Lors d’une conférence à l’Université de Californie du Sud, George Lucas et Steven Spielberg, deux ténors Hollywood font un bilan dramatique de l’industrie cinématographique américaine à ce jour. Ils ne font que confirmer ce que nous savions depuis longtemps, c’est que seul l’argent motive les studio, la découverte de talents et les choix créatifs sont écartés, totalement ignorés et du coup le cinéma n’a plus qu’un passé manque cruellement d’avenir. Spielberg déplore ces choix et déclare : “que les studios préfèrent produire un seul film à 250 millions de dollars de budget plutôt que de se risquer à produire plusieurs films originaux et «décalés».

Cette prise de conscience est d’autant plus louable que ces deux metteurs en scènes font parti de ceux qui sont encore produit en partie par la machine hollywoodienne. C’est comme cela que petit à petit David Lynch s’est retrouvé à la porte et ne fait plus de films suite à la suite de l’échec cuisant de son dernier film Inland Empire. Pour ces deux grands cinéastes, c’est une évidence que cette machine hollywoodienne va directement vers l’implosion. Pour Lucas c’est simple :«Il y a aura moins de cinémas, y aller coûtera 50 ou 100 dollars, comme une place à Broadway ou pour un match de foot. Les gros films resteront à l’affiche pendant un an, comme les comédies musicales. Tout le reste, les petites productions, finiront sur le petit écran». Il est déjà demandé 25 dollars pour aller voir Iron Man, quant à Lincoln qui a été sacré aux Oscars était initialement prévu d’être produit en téléfilm. Une chose est certaine, pour l’instant l’exception française permet encore de réaliser des films d’auteurs et la vieille Europe risque à terme d’attirer les grands réalisateurs américains mis sur la touche. C’est sans doute ce qu’à pressenti Luc Besson et la création de ses studios à St Denis….

Dans le 93, une cité pour les stars

Jeudi 27 septembre 2012

Il est rare de se payer ses rêves et bien un petit français l’a fait et pour cela il lui a fallu près de 20 ans. Il n’est pas inconnu du grand public loin de là. Luc Besson a eu un véritable parcours à l’américaine et c’est sans doute pour cela qu’il a tourné là bas avec une influence notoire. Mais voilà l’élève comme souvent dépasse le maître et à son tour il créé son Cinecitta, son Hollywood à la française. Originalité de cette réalisation, le cinéaste Français a planté son décor au sein de la banlieue, très à la mode actuellement pour les investissements, même les Qataris s’y mettent.  Le site a été acheté en 2006 à Edf une de ses anciennes usines électriques dans le 9.3 Luc Besson a injecté quelques 140 millions d’euros, pour un complexe comprenant 9 plateaux de tournages et deux écoles de cinéma, sur 6,5 hectares entièrement équipés.

Jamel Debouze, producteur de la société Kiss film a déclaré :” Je n’aurais jamais cru revenir un jour en banlieue pour faire mon métier”. Il en avait rêvé,  l’a fait.

Arthur 3 fin d’une trilogie

Mercredi 13 octobre 2010


Besson, l’homme orchestre, signe Arthur 3 La Guerre des Deux Mondes qui met fin à sa trilogie et pour cela il a écrit spécialement un roman. Ce dernier volet a été tourné simultanément avec le précédent, afin qu’entre ces deux épisodes, l’acteur Fredie Highmore ne grandisse pas trop d’un film à l’autre. Certains d’entre vous ont peut être déjà vu ce film, puisqu’il était déjà sorti dans 225 salles en exclusivité le 22 août 2010, baptisé pour l’occasion “Arthur Day”. C’est à croire que Besson n’arrête jamais, cette année il avait déjà sorti au mois d’avril Adèle Blanc-sec. Un homme pressé aux multiples casquettes, il est scénariste, réalisateur, producteur, distributeur et cette fois en plus écrivain. La machine Besson & C°c’est avant tout des techniciens attitrés qui le suivent de film en film, comme son assistant-réalisateur Stéphane Gluck, son directeur de la photographie, Thierry Argogast, mais aussi son compositeur Eric Serra. C’est aussi une incroyable entreprise qui pour cette trilogie a employé 700 personnes différentes. Arthur 3 est le film français le plus cher, jamais tourné en France, avec un budget de 68,83 millions d’euros. Le succès est au rendez-vous, Arthur c’est plus de 3 millions de livres vendus, 10 millions de spectateurs aux deux premiers volets et 2 millions de DVD. Besson nous fait vivre en live son rêve américain, et pour ce tournage il n’a pas hésiter à recréer une ville américaine des années 60 en pleine Normandie. Voilà un personnage qui n’a pas fini de nous étonner, imagination et création sont alliées à une force de travail inouïe, mais avant tout à un fabuleux sens des affaires.

L’Adèle de Besson s’appelle Louise

Mercredi 14 avril 2010

louise-bourgoinBesson revient derrière la caméra pour adapter la célèbre Bd de Jacques Tardi, publiée pour la première fois en 1976. Cette Bd relate les aventures d’une journaliste intrépide, dans le Paris de la Belle Époque. Luc Besson envisage de réaliser une saga de trois films, et pour le premier volet, il met en scène deux des neufs albums. L’essentiel du tournage s’est fait en studio, dans 800 m2  de décors, qui ont nécessité près de huit mois de préparation. il a fallu reconstituer minutieusement des lieux historiques, tels que le Louvre ou encore la grand pyramide d’Égypte. Après avoir hésité entre quatre actrices dont Sylvie Testud, Besson a choisi Louise Bourgoin, ancienne miss météo de Canal+, pour incarner son héroïne. 2010 est  une année décisive pour Louise qui après son rôle dans “Blanc comme neige”, obtient avec le personnage d’Adèle blanc sec, son premier grand rôle. Une chance déterminante pour cette comédienne, quand on sait que Luc Besson a l’art et la manière de lancer les carrières d’acteurs et d’actrices.

Let’s Recap…récapitulons

Dimanche 6 décembre 2009

Luc Besson, une boulimie de cinéma

Jeudi 3 décembre 2009

luc-bessonActuellement sort sur les écrans le deuxième volet d’Arthur et les Minimoys, “Arthur et la vengeance de Maltazard”. Celui qui, il a quelques années encore, disait vouloir abandonner la réalisation pour se consacrer uniquement à la production, multiplie les projets. Alors qu’il vient de tourner son 9e film, une adaptation de la Bd de Tardi, “Les extraordinaires aventures d’Adèle Blanc-Sec”, avec Louise Bourgoin dans le rôle principal, il souhaiterait réaliser aussi le 4e Astérix. Mais voilà, la concurrence sera rude parce qu’il est loin d’être, sur ce projet, le seul prétendant. Sont en lice, Thomas Langmann, producteur et co-réalisateur d’Astérix aux J.O qui rempilerait bien en dirigeant aux côtés de Christophe Barratier un “Tour de Gaule”, mais aussi Laurent Tirard le réalisateur à succès du Petit Nicolas. Parlant de ses créations, le cinéaste déclare : “Au départ de chaque film, il y a une petite histoire d’amour avec un livre ou un personnage”. Besson et son idylle avec le cinéma, que ce soit pour produire ou pour réaliser, n’est pas prête de s’achever.