Ils sont nés ou morts un 25 août
Dimanche 25 août 2024Tim Burton
Le réalisateur, scénariste, dessinateur et producteur américain Tim Burton est né le 25 août 1958 à Burbank en Californie. Le MoMA de New York et la Cinémathèque française à Paris lui consacrent en 2009 et 2012 une grande exposition de son œuvre plastique et cinématographique. Ses acteurs fétiches sont Johnny Depp, qu’il a dirigé à huit reprises, et Helena Bonham Carter, son ex-compagne et mère de ses deux enfants.
Neil Alden Armstrong, né le 5 août 1930 à Wapakoneta dans l’Ohio aux États-Unis et mort le 25 août 2012 à Cincinnati dans le même État, est un astronaute américain, pilote d’essai, aviateur de l’United States Navy et professeur.
Raymond Barre
Raymond Barre, né le 12 avril 1924 à Saint-Denis et mort le 25 août 2007 à Paris, est un économiste, universitaire et homme d’État français. Professeur d’université, il est vice-président de la Commission européenne, chargé de l’Économie et des Finances, de 1967 à 1973.
Sonia Rykiel
Sonia Rykiel, née Sonia Flis le 25 mai 1930 à Paris et morte le 25 août 2016 dans sa ville natale, est une grande couturière et designer française.
Friedrich Nietzsche
Friedrich Wilhelm Nietzsche, né le 15 octobre 1844 à Röcken en Prusse et mort le 25 août 1900 à Weimar en Saxe-Weimar-Eisenach, est un philosophe, critique culturel, compositeur, poète, écrivain et philologue allemand dont l’œuvre a exercé une profonde influence sur l’histoire intellectuelle contemporaine.





























 Neil Amstrong, Buzz Aldrin et Michael Collins ont été invités à faire une déclaration commune en vue de la commémoration de l’événement qui, en 1969, fit rêver la terre entière. Mais voilà, quarante ans plus tard, les trois compères ne partagent plus la même vision de la conquête de l’espace.  Ces trois hommes ont vécu certainement l’aventure la plus folle et la plus onéreuse de l’histoire de la Nasa, mais certains n’ont plus les yeux plein d’étoiles. Neil Armstrong, n’a jamais aimé être dans les spolights et a fait le moins d’apparitions possibles. Buzz Aldrin a connu l’alcoolisme et la dépression à son retour sur Terre, de ce fait il a décidé de s’effacer de la scène publique. Seul Michael Collins a multiplié les interventions, a publié trois livres et signé des centaines d’autographes pour chercher à rappeler à tous qu’il faisait parti d’Apollo 11, frustré certainement de ne pas avoir, comme ses deux compagnons, foulé le sol de la Lune. Il a déclaré à “Times“  que les trois astronautes étaient ” d’aimables étrangers” les uns pour les autres.  Le coût économique colossal de l’opération pourrait, en réactualisant les sommes, être chiffré à quelques 110 milliards d’euros. Rassurez-vous, l’avancé technologique que cela a nécessité a fait que les retombées économiques, depuis 40 ans, ont rapporté au minimum cinq fois la mise initiale. Si en 1969 les USA se sont offerts la Lune, les américains n’ont pas pour cela perdu le Nord. Business is Businees, what else !
Neil Amstrong, Buzz Aldrin et Michael Collins ont été invités à faire une déclaration commune en vue de la commémoration de l’événement qui, en 1969, fit rêver la terre entière. Mais voilà, quarante ans plus tard, les trois compères ne partagent plus la même vision de la conquête de l’espace.  Ces trois hommes ont vécu certainement l’aventure la plus folle et la plus onéreuse de l’histoire de la Nasa, mais certains n’ont plus les yeux plein d’étoiles. Neil Armstrong, n’a jamais aimé être dans les spolights et a fait le moins d’apparitions possibles. Buzz Aldrin a connu l’alcoolisme et la dépression à son retour sur Terre, de ce fait il a décidé de s’effacer de la scène publique. Seul Michael Collins a multiplié les interventions, a publié trois livres et signé des centaines d’autographes pour chercher à rappeler à tous qu’il faisait parti d’Apollo 11, frustré certainement de ne pas avoir, comme ses deux compagnons, foulé le sol de la Lune. Il a déclaré à “Times“  que les trois astronautes étaient ” d’aimables étrangers” les uns pour les autres.  Le coût économique colossal de l’opération pourrait, en réactualisant les sommes, être chiffré à quelques 110 milliards d’euros. Rassurez-vous, l’avancé technologique que cela a nécessité a fait que les retombées économiques, depuis 40 ans, ont rapporté au minimum cinq fois la mise initiale. Si en 1969 les USA se sont offerts la Lune, les américains n’ont pas pour cela perdu le Nord. Business is Businees, what else !