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L’Elysée choisit la direction de l’UMP.

Jeudi 11 décembre 2008

Cela évitera tous les débordements médiatiques, c’est le fait du Roi. “Il ne faut pas oublier que celui qui a la confiance de Sarkozy, c’est Hortefeux. On peut imaginer une réorganisation complète avec lui devenant vice-président chargé des investitures, à la place de Jean Claude Gaudin”. Une manière aussi de chaperonner ce “chouchou” encore bien expérimenté. Il faut aussi préciser qu’il est prêt à quitter son poste actuel de ministre du travail, pour assumer pleinement cette nouvelle fonction.

Objectifs, éviter que l’UMP ne s’endorme sur ses lauriers et préparer, les européennes, les régionales et bien entendu 2012. Patrick Devedjian n’était pas l’homme de la situation, d’où sa promotion. Seule ombre au tableau, le très médiatique et très ambitieux Jean-François Copé, patron des députés de l’UMP, qui “colle à la culotte” de Xavier. Mais Copé, invité du grand journal sur canal+ a déclaré “les jeux sont faits!” Donc pour Xavier Bertrand la voie royale semble toute tracée.

Patrick Devedjian, fidèle soldat de retour de campagne, réclame sa part de butin.

Samedi 29 novembre 2008

Il y a peu de chance que nous assistions fin janvier, pour le renouvellement de la présidence de l’UMP, à une belle empoignade à la mode PS. A l’UMP, royaume de la pensée unique. Tout est dicté, maîtrisé, sur ordonnances présidentielles.

“Je suis comme comme le soldat de l’Évangile, j’irai là où je serai utile” glisse, obséquieusement, l’ancien ministre dans une interview au Figaro. Partout… sauf où beaucoup de ses rivaux aimeraient l’enterrer vivant, le ministère de l’immigration, poste ingrat s’il en est. ” Brice Hortefeux a fait un excellent travail. Ma personnalité ne permettrait pas les succès qu’il a obtenu” : belle pirouette suivi d’un salto arrière. Il dit encore, pour montrer au combien il a été utile , “le secrétaire de L’UMP est un “paratonnerre” qui “doit protéger le président de la République”. Il faut décrypter : ce que je fis avec brio et zèle. Maintenant, il suffit, il attend sa part de butin, une récompense prestigieuse, digne de sa bravoure et de sa loyauté ! Mais voilà sur l’échiquier de l’UMP l’avancement se fait de main de maître. Nombreux sont, comme Patrick Dededjian, les bons prédicateurs, clamant haut et fort, l’Évangile selon Nicolas.  Seule une bulle papale peut le muter au siège tant attendu, au Nirvana du pouvoir. La course aux portefeuilles sera âpre, les coups bas et les tractations seront sans partage, mais dans l’ordre, c’est  établi, rien ne filtrera. Du reste les médias sont aussi sous contrôle. Le président à payer pour apprendre qu’un pouvoir fort et sans partage, c’est avant tout : bien communiquer !

Tout cela fleure bon le remaniement à l’heure de l’an nouveau, histoire de fêter dignement une ère nouvelle. Seuls les plus fidèles des fidèles seront canonisés à de postes clés ! La prime se fera au mérite.

Les éléphanteaux donnent de la trompe!

Jeudi 27 novembre 2008

La nouvelle garde du PS est là dans les jupes des éléphantes, prête à prendre la relève, à faire quelques fanfaronnades médiatiques pour montrer leur bravoure.

“Hamontbeaufils” contraint et forcé, s’est rallié au camp Aubry, celle qu’il savait qui allait être désignée. Il nous a montré, le temps d’un rêve, d’une illusion, qu’il pouvait déjà s’adonner au “one man show”, voler de ses propres ailes. Très rapidement on l’a sommé de retourner au nid et de faire des courbettes, à celle que le parti avait depuis toujours choisi. Les amis d’hier sont les ennemis de demain ce fut le cas de Montebourg “le transfuge”. Porte-parole de Ségolène pendant les présidentielles, il devient partisan d’Aubry lors de cette bataille. “çavalse” lui c’est pour Ségolène qu’il a fait le beau, cet éléphanteau là, est du type jeune loup, qui donne un peu trop de la trompe ces temps-ci. Les éléphants du PS ne vont pas tarder à lui limer les canines un peu trop hypertrophiées à leur goût. Mesdames, il faut faire vite, demain vos enfants vous égorgeront dans votre sommeil, avant de vous dévorer. Non Tout le monde n’est pas beau ni tout le monde n’est pas gentil comme le disait le regrété Jean Yanne. “ça valse” est un mutant du type procédurier, c’est ce genre là qui peut faire à tout moment voler le parti en éclats.

Sur la touche nous regardons cette empoignade qui nous laisse dubitatif. Nous voyons avec un peu d’amertume dans la bouche, se dessiner les contours d’une politique moderne, où tout va très vite, ou tout est hyper médiatisée. Sarkozy en est à l’heure actuelle, le grand gourou.  Mitterand, fin stratège en était le Prophète. En politique une seule chose subsiste, et c’est vieux comme l’humanité, les coups bas et les querelles de pouvoir.

Merkel encore agacée par Sarkozy…

Lundi 27 octobre 2008

Son activisme de joggeur politique épuise Angela. Elle va lui dire deux mots à ce “Naboléon”, ce saltimbanque européen qui se la joue cavalier seul, et qui se prend pour l’unique patron de L’UE e de la BCE réunies. Elle critique la création d’un fond souverain français, destiné à investir dans les entreprises stratégiques. Berlin est extrêmement sourcilleux dès qu’il s’agit de remettre en cause l’indépendance de la BCE, dont les statuts sont inspirés de ceux de la Bundesbank, l’ancienne gardienne inflexible du Deutschemark. Sur ce sujet du gouvernement économique de la Zone euro, Ulrich Wilhelm a pris soin d’ajouter que “le président naturel” d’une telle instance européenne serait le Premier ministre luxembourgeois, et le président de l’Eurogroupe Jean-Claude Junker.

Alors Mr Sarkozy, on est prié de ne pas toucher au grisbi !

Jean-Louis Borloo ministre de l’Ecologie récompensé par le «prix Press Club, Humour et Politique.

Mardi 1 juillet 2008

Jean-Louis Borloo ministre de l’Ecologie récompensé par le «prix Press Club, Humour et Politique 2008» Homme politique le plus drôle de l’année avec cette phrase «Sarkozy, c’est le seul qui a été obligé de passer par l’Elysée pour devenir Premier ministre.»Propos volontaire ou involontaire il n’en reste pas moins très drôle au moment où le président de la République prend la tête de l’Europe