Articles taggés avec ‘Jean-François Copé’

Il est né un 5 mai

Mercredi 5 mai 2021

Jean-François Copé

L’homme politique français, Jean-François Copé, est né le 5 mai 1964 à Boulogne-Billancourt (Seine).

Nicolas nous refait du Sarkozy

Lundi 6 octobre 2014

Il crie partout qu’il a changé mais dès qu’on l’écoute plus de 10 minutes on voit rapidement que Nicolas ne sait faire que du Sarkozy. En serrant ces petits poings il veut reprendre du service faisant fi de tous les autres qu’il veut réduire au silence  au plus vite. S’il est sorti de son apparent mutisme pour se relancer dans la bataille et lorgner sur les prochaines présidentielles c’est qu’il sait que dans son camp on ne l’attend pas comme le sauver, ce qu’il voudrait être.

Les ambitions s’affichent que ce soit son ex premier ministre qui n’est pas près de lâcher le morceau

ou Alain Juppé le favori de Chirac. L’ex premier ministre compte bien se présenter à des primaires maintenant incontournables, même si Nicolas Sarkozy ne s’y résout  que contraint et forcé. Le match pour le principal parti de droite promet de belles séances d’ego centrisme, la bataille sera féroce au regard de celle de François Fillon et de Jean François Coppé il y a peu.

Copé démissionné

Mercredi 28 mai 2014

Lors d’une réunion de crise qui a eu lieu mardi matin le bureau politique du parti s’est réuni à l’Assemblée Nationale pour une séance d’explications sur l’affaire Bygmalion. Même si Jean-François Copé s’est battu jusqu’au bout, il s’est vu contraint et forcé de donner sa démission face aux charges des fillonnistes bien entendu, mais pas uniquement.  La crainte première était de voir l’UMP, crée en 2002, imploser compte tenu de la situation.

D’ici le 15 juin François Copé ainsi que toute de direction actuelle passera le relai à un triumvirat d’anciens premiers ministres.

Jean-Pierre Raffarin, Alain Juppé et François Fillon assureront donc l’intérim et devront préparer un congrès extraordinaire au mois d’octobre pour redonner la parole aux militants et redéfinir la politique générale du parti.

L’affront national

Mardi 27 mai 2014

C’est entre désintérêt et défiance que les français, qui ont daigné se rendre aux urnes, ont permis pour la première fois de la Ve République au FN  de sortir de sa marginalité pour finir en tête des élections européennes. L’heure est aux bilans et ils sont encore pires que pour les municipales. Si le PS a été sanctionné sur sa politique sociale démocrate il n’est pas le seul. Le revers est sanglant pour les partis traditionnels, c’est l’échec de l’UMPS et le bipartisme roi.

On a le curieux sentiment de revivre le 21 avril 2002 où Lionel Jospin était battu par Jean-Marie le Pen.

Même si Manuel Valls parle de “choc” ou encore de “séisme”, il n’est pourtant pas question pour lui de changer de politique, ce qui était à prévoir. Dans les rangs de la majorité les dents grincent. Un cadre de la majorité déclare à propos de François Hollande : “La situation est assez simple, en deux ans il a perdu ses électeurs, des bobos aux prolos”.

Quant à l’UMP c’est une défaite cuisante certainement liée à une ambiance délétère entre les barons et les affaires qui ne cessent de défrayer la chronique. Dans les faits  l’UMP n’est plus le premier parti d’opposition en France aussi les cadres du parti n’hésitent pas à mettre en cause Jean-François Copé et demande un changement radical de gouvernance, même si personne ne veut lui succéder actuellement. Si le pari réussi de Marine le Pen est difficile à digérer, il est d’autant plus que 30% de ses électeurs ont moins de 35 ans et là est le véritable problème. Cet électrochoc passé il restera au parlement européen une France dont l’influence sera réduite à peau de chagrin.

Rebondissement dans l’affaire Bygmalion and C°

Vendredi 16 mai 2014

Décidément, à quelques jours des européennes,  l’UMP et son président Jean-François Copé n’en finissent pas de défrayer la chronique. Après l’affaire révélée par le magazine Le Point (cliquez ici) sur les surfacturages de l’agence de communication Bygmalion, voilà que c’est au tour du journal Libération de remettre le couvert. Il s’agit cette fois ci de Event&Cie, une filiale de Bygmalion, qui se serait vu régler par l’UMP  pas moins de 20 millions d’euros durant et après la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy.  Pour le journal le plus troublant serait les 12,7 millions payés pour 55 «conventions thématiques» dont les principaux intéressés ont du mal à se souvenir,  comme Pierre Lelouche supposé être le principal intervenant d’une convention facturée 299 000 euros. Voilà un nouveau dossier qui n’arrange pas l’image de l’UMP qui a déjà dû faire appel à  ses sympathisants pour éponger 11 millions d’euros après l’invalidation des frais de campagne du candidat Sarkozy. Pour Libération, il  ne fait aucun doute, que certains de ces événements payés au prix fort seraient totalement fictifs. Reste maintenant à le prouver, mais cette fois ci cela va être difficile de rejouer le coup de la transparence sous scellés.

La meilleure défense ne reste-t-elle pas l’attaque ?

Jeudi 13 mars 2014

La meilleure défense ne reste-telle pas l’attaque? Certainement et l’UMP est en train de nous en faire une magnifique démonstration. Jean-François Copé accuse, lui qui hier était dans les cordes. Il va même plus loin il demande la démission du garde des sceaux, why not ?

Suffit-il de demander pour être exaucé ? Il ne semble pas, mais donner de la voix éloigne toujours ceux qu’il considèrent comme les charognards de la presse et du Point en particulier, qui ont osé le mettre en cause et qu’il a enfumé comme à l’accoutumé. Taper du poing sur la table et dire j’exige il sait, c’est même son métier.

Tout comme l’ex président, redevenu un citoyen comme tout le monde, enfin presque, face à la justice qui enquête et le met sur écoute. Règlement de comptes de la justice ou défiance, possible mais pas que, difficile d’accepter une justice indépendante qui fait son métier sans entraves. Il faut dire que Mr Sarkozy avait comme projet de supprimer les juges d’instruction, on comprend mieux pourquoi à ce jour.

Quant aux enregistrements de Patrick Buisson, ancien de l’extrême droite repenti à l’UMP devenant même un conseiller qui compte dans l’entourage de Nicolas Sarkozy, on fait un véritable cauchemar, c’est à peine croyable tellement cela jette la droite contre un mur. Droite qui rebondit en accusant le pouvoir de tous les mots.

Au lieu de laver son linge sale en famille,  on hurle on vilipende l’ennemi d’hier et d’aujourd’hui. On voit des  complots partout et montre du doigt le gouvernement qui aurait diligenté les écoutes ou du moins aurait été au courant sans mot dire. La mémoire est fragile, c’est pour cela qu’en politique il est simple d’avoir de grosses crises d’amnésie.. Comme le gouvernement PS a du mal à communiquer correctement, il est fort aisé de leur faire prendre les pieds dans la nasse. Mme Taubira si habile à manier le verbe a fait une erreur certainement mais est-ce là le propos originel. Il parait même qu’elle aurait voulu démissionner voyant la tournure des événements.  Il faut dire aussi qu’à deux semaines des municipales les candidats estampillés UMP doivent sacrément regimber dans les brancards des responsables qui semblent l’être de moins en moins au regard de l’actualité. Alors on hurle à la manigance à la fourberie politique et on pense ainsi pourvoir se cacher derrière son petit doigt. Un peu facile…

Le Point fait écoper le président de l’UMP qui prend l’eau

Mardi 4 mars 2014


Sa riposte est convenue. L’avocat entre en un long réquisitoire devenant à terme procureur et faisant le procès de la presse qui ose l’embêter. Il se la joue Président qui convoque la presse pour  lui remonter les bretelles. Il geint, se victimise et nous expliquer qu’on a commis le crime de les majesté en le trainant dans la boue avec des procédés digne de l’inquisition, lui l’homme intègre qui se met en défenseur de la transparence, tout en nous embrouillant pour ne pas répondre à ce qui lui ai demandé.

Sans jamais le nommer les qualificatifs comme “Tartuffe, bouffi d’orgueil”claque à l’encontre de Franz Olivier Giesberg.

Quant à Etienne Gernelle directeur de l’hebdomadaire le Point, ce dernier se dit mari de n’avoir pas eu de réponse digne de ce nom . Il précise par ailleurs que depuis que le journal le Point est né en 1972, ces membres n’ont servi la soupe à personne et le rôle d’une presse indépendante et faire un travail d’enquête sur les pouvoirs quels qu’ils soient, de droite ou de gauche. Par ailleurs, l’enquête continue et les publications avec si c’est nécessaire. Maintenant il s’agit que Mr Copé en prenne acte.

Voilà une affaire qui est du pain béni pour François Fillon, et si l’on avait un mauvais esprit on pourrait croire que l’info qu’a exploitée l’hebdo le Point pourrait venir de l’UMP lui même. Il faut dire que François Fillon avait déjà eu maille à partir avec la roublardise de Mr Copé lors des premières primaires de l’UMP, où les candidats c’étaient comporté comme des primates basiques. A quelques jours des municipales voilà un bien sale coup à nouveau pour l’UMP qui décidément sans Naboléon Sarkozi s’entredéchire en permanence. Cela rappelle bien entendu la guerre des roses et les barrissements perpétuels des éléphants du PS. Vive la politique libre de ces professionnels de l’embrouille. On peut toujours rêver…

Pluvieux, pluvieux, le printemps sera pluvieux

Lundi 6 mai 2013

Il y a un an jour pour jour François Hollande s’installé à l’Élysée. Depuis de l’eau est tombé du ciel, on a un des printemps les plus pourris de la décennie, il fait froid, la neige tombe en avril, il pleut des cordes et les gens sont les pieds dans l’eau. La faute à qui ? Certainement au gouvernement qui n’a pas su résoudre la météorologie au seuil de nos attentes. L’Europe est en crise et les français tapent leur crise. Ils veulent pas du mariage pour tous et Frigide Barjot devient une icône de la contestation.

L’humoriste nous fait pleurer de dépit. Les anges de la tv réalité nous plombent le paysage. Le chômage culmine à des sommets depuis longtemps inégalé, rien ne va plus les jeux sont faits Hollande est un mou un naze à perpétuité, même si ça fait qu’un an qu’il est à l’Élysée, il n’a jamais su nous faire rêver. Toutes les manchettes des journaux l’assassinent et il est en chute libre sur des sondages à répétition qui n’ont seulement pour but de dire qu’il est nul et que c’est un âne …. Tous pourris et de plus en plus, les français ne croient plus en leur politiques, l’affaire Cahuzac discrédite la gauche tout de suite suivi par le cas Guéant qui n’arrive pas à justifier le trop d’argent perçu qu’il n’arrive pas à cacher.

Certains français réclament le VI e République, la Ve étant au bout du bout de ses méfaits. François Hollande ne fait pas rêver, il est atteint du complexe de Louis XVI mais n’a pas les clés de la crise qui nous paralyse.

Les franças n’ont surtout aucune mémoire politique. En pleine affaire Guéant, ancienne éminence grise de Nicolas Sarkozy, Jeau-François Copé, taxé d’avoir triché lors des primaire par les Fillonistes sort un tract et des affiches avec comme tête de turc le président de la République, dégoulinant non de bonnes intentions mais d’eau, noyé par l’échec de cette élection que tout le monde semble regretter un an après.

Peut on croire en la gauche qui se saborde entre elle, Mélenchon, avec un côté revanchard fait de Hollande sa tête de turc et devient le plus virulent opposant du gouvernement au moment où la droite est empêtrée dans des affaires de plus en plus troubles et une guerre des chefs sans merci.

Franchement nos politiques, tous bords confondus, n’ont vraiment plus l’art de nous faire rêver, mais plutôt celui de nous créer des mauvais tripes  à répétition.

Grand messe contre le mariage gay

Lundi 14 janvier 2013

Comme chaque fois qu’il y a une manifestation, la guerre des chiffres a eu lieu. Nous pouvons certainement chercher une réalité entre les 800 000 manifestants annoncés par les organisateurs et les 340 000  comptabilisés par la police. Même si de nombreux élus de droite ont espérés un ras de marée comme celui de 1984 qui avait fait reculé François Mitterand, cette manifestation reste loin du compte. L’Elysée a reconnu « une mobilisation consistante », tout en maintenant son projet de loi et n’envisageant pas un référendum. Dans cette « manif pour tous », ce fut bien évident l’occasion pour les politiques de droite de se rapprocher et de tenter de se réconcilier avec leur électorat. Toutes les sensibilités de droite  ont marché d’un même que ce soit François Copé en tête d’un  l’UMP ou l’extrême droite sans Marine le Pen. Quant à Christine Boutin elle parle de radicaliser le débat s’ils ne sont pas entendus. La suite des débats aura lieu comme prévu dans l’hémicycle.

L’UMP voit-il le bout du tunnel ?

Lundi 17 décembre 2012

Il semble que l’effet Accoyer ait fait son effet.Face à la pression de la base, l”ancien président UMP de l’assemblée nationale , soutenu par 115 députés, avait proposé pour sortir de la crise, qui ébranle l’UMP depuis plusieurs semaines, de faire mardi un référendum auprès des députés UMP.  C’était une nouvelle façon de mettre la pression sur les deux candidats.

Curieusement ce week-end, nous apprenons que Jean-François Copé qui ne souhaitait pas de nouvelles élections avant les municipales 2014, a fait un pas vers le camp adverse, en proposant un nouvelle élection en septembre 2013.

François Fillon se félicite que son adversaire propose enfin un délai raisonnable. Mais ce dernier n’entend pas dissoudre pour autant  le R-UMP aussi facilement, du moins pas avant le conseil nationale. Le nouvelles élections pourraient inclure de nouveaux candidats, et une rumeur du camp fillioniste prétendrait que François Fillon pourrait ne pas se représenter. Voilà une affaire qui est encore loin d’être terminée.