Archive pour la catégorie ‘Show biz’

Julien Doré à souhait: votre choix exaucé

Dimanche 2 novembre 2008

Julien, c’est avant tout le triomphe du politiquement correct. Attention à la subversion, rien de vaut l’opportunisme chic. “Julien Doré, un rocker extrême…centre”. La Nouvelle Star le propulse dans notre audiosphère. On l’annonce différent. C’est le cas: “faussement arty, vraiment propret”. Après La Tortue, ce lièvre là soulève des foules de fans. Notre baby rocker de 1m73 ne boit pas, ne fume pas, mais il se revendique surréaliste… C’est peu de le dire. Dans le milieu rock-n’-folk, son folk-pop conçu pour plaire à tout le monde dérange les hardeurs musicos. Pourtant, Julien a le respect des dinosaures du milieu. Du reste, il est copain avec Louise Bourgoin, la miss météo de Canal + propulsée critique littéraire et il vient de faire un duo avec Carla… Taratata, le rock se meurt. Il a fait les Beaux Arts, d’où sa culture de l’image. Mais si vous l’énervez, il vous lance: “t’es sympatique, mais t’es pas mon pote”. Pour en savoir plus, je vous recommande la lecture du Techknikart de Mai 2008 qui le traite de “mou du genou” et en fait “le gendre idéal promo 2008″. D’ailleurs, je me suis librement inspiré de cet article dont les autres citations sont également extraites. Il faut rendre à Jules ce qui appartient à César…

Vu à la télé pour vous.

Vendredi 31 octobre 2008

Hier au soir sur le plateau du Grand journal, Colin Farell tout en chair avec des os.

Il s’installe nonchalement avec son look de bad boy ; catogan et feutre gris anthracite au ruban assorti à ses sourcils touffus. Mal rasé, peu lavé, l’accroche coeur négligemment débordant de son couvre-chef, un sourire à faire pâlir la Joconde dans son cadre. Toutes les présentatrices  sont en pamoison, battant de la paupière  à qui mieux mieux, devant cet animal hollywoodien sorti tout droit des coulisses de l’émoi et moi. Il en rajoute , chassant de sa patte velue et nicotinée une mèche rebelle qui s’entête à lui barrer son regard de mafieu des faubourgs de Sunset Boulevard. Pro très pro, il vient nous présenter son dernier film dont tout le monde se fiche royalement, c’est son show qui fait l’actu et capte l’auditoire féminin et gay à l’unison. Fallait y être pour le voir . Le film…J’ai oublié son titre, mais quel importance Corin Farell était là pour de vrai.

Guy Carlier, un éléphant dans un magasin de porcelaine.

Samedi 25 octobre 2008

L’animateur, connu pour ses prises de positions outrées, accuse sur les ondes de RTL, les parents de Grégory Lemarchal, gagnant de la Star Academy 4 décédé le 30 avril 2007 des suites d’une mucoviscidose, à l’âge de 24 ans d’exploiter un filon juteux. Pour lui, le combat contre la maladie a bon dos, en fait, ils se font de l’argent en se servant comme prétexte de la disparition de leur fils. “Il existe une avalanche de bouquins”, s’est énervé Carlier. Ironiquement, il a ajouté ‘…)Non non, ce n’est pas pour l’argent. Tout va à la fondation, c’est un leitmotiv chez eux”. Guy Carlier risque bien de défrayer la chronique …une fois de trop. Affaire à suivre…

Dernière tournée pour ” le festival des Harmonicales ”

Samedi 25 octobre 2008

Voici comme si vous étiez l’exposition de Nalair qui est encore visible aujourd’hui, avant, pendant et après les concerts.

David France 2 contre Goliath TF1.

Samedi 25 octobre 2008

David Pujadas en pôle position sur la grille de l’audimat.

Après un démarrage en trombe, Laurence Ferrari sa rivale de TF1qui succède à PPDA le licencié, fait illusion à peine une semaine. La mécanique bien huilée du 20h de TF1 commence à s’enrayer. Très vite la présentatrice déchante, résultat, c’est la dégringolade. De 40,2% de parts d’audience au JT de la Miss, le compteur ne marque plus que 32,9% , c’est la douche froide. En un mois, le 20h de TF1 perd plus d’1 million de téléspectateurs…Ils ne sont pas allés bien loin, juste en face sur France 2 qui se frotte les mains.

David Pujadas sort son habit de lumière tout à coup il semble moins coincé, une voie royale est en train de s’ouvrir à lui. Ce héros au regard si doux redore le blason de la télévision publique qui sera par bientôt ailleurs mise à mort.

On ne parle plus que de lui, du coup cet élève modèle est reçu en grande pompe au panthéon de vivement Dimanche chez Drucker en personne. C’est la consécration absolue pour ce barcelonais d’origine mais qui n’oublions pas n’est pas n’importe qui non plus puisqu’il est membre du prestigieux club “Le Siècle”.

Les “Harmonicales” un barouf d’honneur.

Vendredi 24 octobre 2008

Pour la dernière soirée “le must”.

à 21h déjà un “Goût de Bouchon” nom du groupe qui se produira en lever de rideau de la star RJ Mischo, made in USA. Ce dernier nous jouera son blues épicé qui fait transpirer la nuit qui se prolongera avec l’after, un” bœuf ” réunissant artistes professionnels et amateurs en une grande famille de passionnés.

Belle conclusion pour 9ième édition du festival les “Harmonicales “qui a comme toujours un goût que de trop peu, vivement le dixième anniversaire.

Peut être qu’à cette occasion on accueillera en vedette américaine Bruno Genest, un maire qui ne manque pas de coffre , qui suit les master-classes avec attention, et encourage ce festival atypique, dans sa petite commune de Condat/Vienne (87920).

Le voici justement qui s’essaye à l’harmonica avec application

harmonicales deux nouveaux concerts…

Jeudi 23 octobre 2008

Le vendredi 24 octobre se produit à 21h à la salle Confluence à Condat/Vienne le groupe SPA

Ce n’est pas un groupe pour la protection des animaux ni des artistes en perdition, mais cela signifie ” Sans Prétention Aucune”, belle trouvaille pour ce groupe génois.

En deuxième partie “les Harmonicales” sortent la grosse artillerie avec à 22h30 le groupe” Iron lung ” , un concert exceptionnel avec des pointures. Rick Epping, Brendn Power, Mick Kinsella et le guitariste Martin Dunlea, tout ce beau monde croqué par Nalair et présent dans l’exposition qui aura lieu jusqu’au 25 octobre le soir de l’apothéose du festival.

Voici pour le plaisir deux des créations de Nalair

Mesrine, coup double.

Mercredi 22 octobre 2008

Le producteur Thomas Langmann rêvait depuis longtemps de porter à l’écran la vie de Jacques Mesrine. Il a fallu beaucoup de temps et surmonter de multiples obstacles pour que son ambition se concrétise. Une partie du script est tirée d’un livre écrit en prison par le truand intitulé “L’instinct de mort”, titre également du premier épisode, qui sort sur nos écrans aujourd’hui. Ce film retrace les premiers pas de Mesrine dans le grand banditisme des années 1950 à 1960.

Vincent Cassel, omniprésent et très convainquant dans son interprétation s’est totalement investi dans son personnage, jouant à la manière “acteur studio”. Il prend 20 kilos pour tendre la peau d’un Mesrine ressucité. Depardieu interprète le caïd Guido son père spirituel. Une réalisation à la hauteur d’un casting de haute volée. Les deux films réalisés par Jean-François Richet ont été tournés en neuf mois, de mai 2007 à janvier 2008. La deuxième partie ” L’ennemi publicN°1″

sortira en France le 19 novembre.

Autre son de cloche et petite mise au point. Michel Ardouin, dit “Porte-Avions” ancienne figure du grand banditisme français auteur de “Mesrine mon associé” casse le mythe de ce dernier en le présentant comme un petit malfrat sans envergure totalement fou sur médiatisé.

De Gainsbourg à Gainsbarre à la cité de la Musique.

Mardi 21 octobre 2008

Exposition événement pour ” cet artiste total “.

Cycle de concerts, projections de films, installations, l’illustrateur sonore Frédéric Sanchez, commissaire de la manifestation a décliné cet évènement en quatre périodes. Dans un espace de 500m2, jaillissent 24 totems, fonctionnant comme autant de supports d’écrits, d’images fixes ou animées, auxquels s’ajoutent :manuscrits, dessins et objets, prêtés par des proches de l’artiste.

Le visiteur suit l’œuvre d’un homme qui n’a cessé d’établir des passerelles entre musique, mots et images.

Gainsbourg c’était plus qu’une oreille mais aussi un œil tout cela en forme de tête de chou.

L’exposition est en fait un voyage qui s’étend de 1958 à1989. De sa période bleue, comme Picasso, celle du “blues” à ses frasques cathodiques orchestrées par son double médiatique Gainsbarre le magnifique.

Il fut avant tout un génie de la communication. Pour Frédéric Sanchez “montrer Gainsbourg dans un musée, 17 ans après sa mort, c’est presque comme une suite logique à son propre parcours”

Un rendez-vous incontournable du 21 octobre 2008 au 1 mars 2009.

Le neuvième festival des ” Harmonicales” commence aujourd’hui.

Lundi 20 octobre 2008

Le neuvième festival des “Harmonicales” commence aujourd’hui et se terminera le 25 Octobre.

Pour la deuxième année consécutive Nalair participera à ce festival en exposant pas moins de 22 tronches de musiciens venus du monde entier.

Une programmation aussi éclectique que fameuse attend les amateurs d’harmonica.

Se produisent durant cette semaine non stop les groupes : Bourdon Street, SPA, Irong Lung, Gout de bouchon, le fameux RJ Mischo et un duo baroque. La particularité de ce festival c’est qu’il y a aussi des scènes ouvertes qui laissent s’exprimer des groupes locaux moins connus. Pour plus de renseignements voir le lien les Harmonicales.

Ce festival n’aurait sans doute pas existé sans le dévouement de l’association Harp’Edge dont vous avait en illustration quelques membres caricaturés par Nalair en 2007.