Articles taggés avec ‘Vincent Peillon’

Ils sont nés ou morts un 7 juillet

Mardi 7 juillet 2015

Vincent Peillon

L’homme politique français, Vincent Peillon, est né le 7 juillet 1960 à Suresnes (Seine).

Bérénice Béjo

L’actrice franco-argentine, Bérénice Bejo, est née le 7 juillet 1976 à Buenos Aires (Argentine).

Julien Doré

L’auteur-compositeur-interprète et acteur français, Julien Doré, est né le 7 juillet 1982 à Alès (Gard) en France.

Edouard Chevardnadze

L’homme politique soviétique et géorgien, Edouard Ambrosis dze Chevardnadze est mort le 7 juillet 2014 à Tbilissi.

Valls1

Jeudi 3 avril 2014

Voici le nouveau gouvernement Valls 1 où pour l’instant seuls les ministres ont été nommés.

Laurent Fabius: Ministre des Affaires étrangères et du développement international

Bernard Cazeneuve: Ministre de l’Intérieur

Ségolène Royal: Ministre de l’Ecologie, du développement durable et de l’Energie

Benoît Hamon: Ministre de l’Education, de l’enseignement supérieur et de la Recherche

Christiane Taubira: Ministre de la Justice, Garde des Sceaux

Michel Sapin: Ministre des Finances et des comptes publics

Arnaud Montebourg: Ministre de l’Economie, du Redressement productif et du numérique

Marisol Touraine: Ministre de Affaires sociales

François Rebsamen: Ministre du Travail, de l’Emploi et du dialogue social

Jean-Yves Le Drian: Ministre de la Défense

Najat Vallaud-Belkacem: Ministre des Droits des Femmes, de la Ville, de la Jeunesse et des Sports

Marylise Lebranchu: Ministre de la Décentralisation, réforme de l’Etat

Aurélie Filippetti: Ministre de la Culture et de la Communication

Stéphane Le Foll: Ministre de l’Agriculture, de l’Agro-alimentaire et de la Forêt, porte-parole du gouvernement

Sylvia Pinel: Ministre du Logement et de l’Egalité des territoires

George Pau-Langevin: Ministre des Outre-Mer

Les grands recalés… où la loyauté remerciée pour deux poids lourds du gouvernement précédent

Vincent  Peillon mais aussi Pierre  Moscovici
Enfin Cécile Duflot qui avait annoncé qu’elle ne souhaitait pas cohabiter avec Manuel Valls mais qui a joué perso en bloquant l’entrée des Verts au gouvernement
Après elle le déluge…Ce qui fait l’affaire de Ségolène Royal qui reprend le poste et fait son retour après une longue traversée du désert.

Peillon, tout l’art de semer la Zone

Mardi 26 février 2013

L’éducation Nationale est-elle poursuivie par une malédiction, celle d’avoir un ministre qui ne l’aime pas. Que la droite n’aime pas l’éducation Nationale autre fois, et cela a bien changé, niche de gauchistes de syndicalistes rebelles d’irréductibles empêcheurs de réformer en rond. Mais où siège en fait la réelle malédiction c’est que dès que la gauche passe, elle nomme un ministre qui détruit son propre électorat.

De célèbre mémoire Lionel Jospin, qui oeuvra à ce ministère de 1988 à 1992, eut l’art de faire dans le primaire des enseignants à deux vitesses, faute bien entendu de moyens, comme toujours. En effet il faut absolument réformer et laisser sa trace, ce fut son cas et il y mis tout son zèle.  Il continua du reste lorsqu’il devint premier ministre lors de la cohabitation à s’acharner en nommant à ce poste un de ses proches,  Claude Allègre, (1997-2000) qui mit a feu et à sang l’éducation Nationale en appliquant avant l’heure une politique Sarkoziste. Sa formule, “dégraisser le Mammouth” est resté au sein de cette corporation comme un brûlot.

Pas étonnant que Mr Jospin le paya cash lorsque ce dernier voulu être président curieusement le Mammouth avait de la mémoire.  Il lui manqua cruellement avant tout les voix de ceux qu’il avait sacrifiés, ses anciens collègues. Peillon ne déroge pas, il parle et fonctionne à la hussarde, “à la Peillon”, comme l’on dit maintenant. En pleine crise de vocation, il propose se travailler plus, en particulier en sabrant les vacances d’été. Peillon c’est l’art de la gaffe à son paroxysme… Pour ne pas changer l’éducation Nationale sera un nouvel échec pour la Gauche et à terme elle le paiera certainement.

La violence contre les enseignants une réalité inadmissible

Samedi 15 septembre 2012

Curieusement il semble que l’on découvre une réalité qui malheureusement est de plus en plus fréquente. En effet après avoir déprécié l’image de l’enseignant dans la société, on bouffe de l’enseignant depuis plusieurs décennies, comme l’on a bouffé du curé en début du siècle. Mal payé, mais trop payé pour ce qu’il fait, son image est perpétuellement dégradé, ce mal aimé chronique a vu la gente masculine quitter peu à peu la profession mais avec elle une certaine autorité. Ce n’est pas que les enseignantes ne sont pas sévères oh non c’est qu’elles vivent souvent maintenant dans l’insécurité. La solution, on l’a trouvé, mettre des hommes et des vrais avec des uniformes, ça au moins ça ne rigole pas. Seulement voilà après les enseignants qui canalisaient le foutoir ambiant, maintenant c’est la maréchaussée qui a fort à faire et doit s’armer lourdement ou se promener avec des chiens policiers en groupe. Donc la violence n’est pas un épiphénomène dans l’enseignement, la première violence a eu lieu il y a de cela des années en les privant de toute possibilité de faire valoir leur autorité. Rien ne va plus les jeux sont faits depuis longtemps, mais l’on peut saluer la prise de position de Vincent Peillon auprès des agressés, en disant que l’institution était avec eux …On croit rêver, alors que si souvent cette institution a passé son temps à minimiser les violences, et passée maîtresse en la manière d’ouvrir le parapluie.

Bayrou fait à Sarkozy le coup du père François

Vendredi 4 mai 2012

À trois jours des élections, François Bayrou fait durer le suspens pour dire quels seront ses consignes de votes pour le Modem.  Hier au soir, après avoir expliqué qu’il ne donnait aucune consigne de vote au groupe centristes composés de sensibilités multiples, il annonce qu’à titre personnel il voterait pour François Hollande et s’en explique. Pour lui sans trahir le fait qu’il soit centriste, il explique que Nicolas Sarkozy s’est livré “à une course poursuite à l’extrême droite dans laquelle nous ne reconnaissons pas nos valeurs”. Il est pourtant à noter qu’au moment de son intervention télévisée, l’aile droite du Modem s’était curieusement envolée.  Voilà une rupture politique longuement soupesé, et il ajoute : “Je ne peux pas voter blanc cela serait de l’indécision. Dans ces circonstances l’indécision est impossible”.  Le moment, même si le camp Sarkozy le minimise, est historique, car comme le dit le PS Vincent Peillon : “C’est la première fois dans ce pays que le leader du centre annonce qu’il votera à gauche”. François Hollande salue “Un geste courageux”,  alors que beaucoup considère  cette prise de position comme un suicide politique, tout en se défendant d’un quelconque rapprochement, pour ne pas défriser le front de gauche Mélenchoniste ou les verts qui ont déjà du mal à avaler la continuité du nucléaire. Un proche du Président n’hésite pas à tirer à boulets rouges sur celui que l’on a toujours taxé d’indécis et qui  passe aujourd’hui pour Judas,  et dit  : “Sa carrière est une catastrophe… Il est bouffi d’aigreur”. Décidément comme pour le débat, la bataille est âpre et les coups bas fusent de toutes parts. Jusqu’à la dernière seconde les deux camps ne lâcheront rien. Il est à prévoir dès à présent que lundi matin  la France, pour une raison ou une autre, aura une sacrée gueule de bois.