Archive pour mars 2014

Sinistre anniversaire japonais

Mardi 11 mars 2014

Voilà un bien triste anniversaire mais aussi un terrible constat, souvent évalué à l’emporte pièce et minimisé que l’on peut faire trois ans après l’accident nucléaire de Fugushima. Suite à un séisme de magnitude 9 et au tsunami dont la première vague mesurait 15 m ont fait que  la centrale nucléaire japonaise subissait un incident de niveau 3, c’est dire qu’elle a été gravement endommagée . L’explosions des bâtiments des réacteurs du 12 au 15 mars 2011 aggrave le tout, le rendant certainement irréversible. Dans ce type d’accident, les retombées sont inconnues, immesurables et ingérables à court terme. Aussi 3 ans après rien n’est réglé ni près de l’être,et a-t-on conscience réellement de la dangerosité du site et des alentours. Une question reste posée, pourra-t-on gérer l’après Fugushima au Japon, et durant cette période qu’adviendra-t-il de tous ces gens qui ont travaillé à la décontamination ou à l’évaluation des dégâts et la prise de tous types mesures. Des aliments et animaux contaminés ont été et sont toujours consommés, naissant, se développant sur des terres qui contiennent la mort larvée. Comme à Tchernobyl, à Fugushima rien n’est près de se régler. Face au prix des risques encourus pour l’obtention de cette énergie et du fait que nos centrales vieillissent, c’est une inquiète bien légitime de la communauté écologique mais pas que qui anime les régions proches des centrales nucléaires françaises. Jouer avec la boite de Pandore est toujours ultra risqué, parce que tout est possible n’importe quand et surtout le pire, en est-on vraiment conscient?

Quel week end de rugby !

Lundi 10 mars 2014

Voilà un bon week end en planète Ovalie et quel week end de rugby. A priori dans ces trois joutes du tournoi des 6 nations les seuls qui furent vraiment décevant ce furent les français, trop mièvres ou trop coincés.

L a princesse Anne passe ses troupes en revue

Certes nous étions en terre ennemie, chose qui nous bloque, et tout compte fait nous avons gagné comme disent tout ceux qui les ont vu de leur canapé. Nous avons tous souffert avec eux de les voir sans imagination, bousculé par un tout petite équipe d’Ècosse qui a su sortir un grand jeu.  Est-ce la présence de la princesse Anne ou les chants de guerre écossais qui ont motivé le XV au chardon? Peut importe, il s’en est fallu de très peu pour nous frisions la correctionnelle ou la correction.

On peut dire merci Yoan Huget qui après une course de plus de 80 m nous a sauvé la mise et surtout a su se faire pardonner la bourde qui avait faite sur le non contrôle d’une chandelle mortelle qui nous avait valu le premier essai écossais. Le XV tricolore n’a pas su nous tirer de l’ennui, ils ne nous ont pas fait plaisir en nous servant un jeu étriqué et sans imagination. Bon, ne crachons pas non plus dans la soupe, nous avons gagné. C’est une 14e victoire sur 15 matchs contre les écossais, mais nous fûmes loin de leur avoir fait manger leur kilt.

Il a fallu voir les deux autres matchs pour assister enfin à un jeu ouvert engagé sans mièvreries. Les Irlandais seront samedi prochains de terribles adversaire au regard du festival de rugby et à la leçon de réalisme qu’ils ont offert à des italiens submergés.

En marquant 7 essais dont 5 en deuxième mi-temps ce fut une véritable correction que les italiens ont subi.

Quant à dimanche, quel jeu entre les tenants du titre, les gallois et des anglais qui ont eu la chance d’avoir Farel comme à la parade. Quel butteur incroyable ! On a assisté à un match en prise où les protagonistes se sont battus tous comme des diables rouges. Le XV de la Rose a donné une vraie leçon de rugby au XV de France qui peut en prendre de la graine pour affronter des irlandais chaud comme la braise.

Disney revu et visité par Miley Cyrus

Dimanche 9 mars 2014

Lors d’une de mes revues de presse, pourquoi se priver des journaux people, actuellement les plus achetés même s’ils ne peuvent pas être considérés comme les plus rigoureux avec l’éthique journalistique, mais bon, rions aussi avec la canaille.  C’est comme cela qu’un article de VSD a retenu mon attention, il titrait “Jeunes Beaux et Abrutis”. Les cibles  de l’article sont simples, Justin Bieber qui ne cesse de péter les plombs sous l’emprise de substances illicites et Miley Cyrus entre autres.

Cette dernière âgée de 21 ans fut lancée par la série Disney en 2006. Mais voilà depuis et en grandissant la jeune chanteuse a bien compris que pour attirer l’attention de ses fans en concert le monde de Disney ce n’est plus franchement ça ou suffisant, évolution oblige.  C’est alors que Miley est devenue le chantre d’une nouvelle génération qui  électriser la pudibonderie made in USA. Clip et shows se succèdent où la jeune fille chaude comme la braises mime des masturbations et des fellations à gogo, ce qui n’est plus franchement du goût des parents qui crisent alors que les jeunes ados fans jubilent.

Il n’empêche que le look de Miley et ses tirages de langue permanents, la buste dans les hits où elle titille d’autres vieilleries comme Lady Gaga ou Madonna. Du  coup sa pub est faite et ses disques se vendent comme des petits pains en pleine disette de sexe. Les bons comptes font  que sa fortune est actuellement estimée à  150 000 000 $, pas mal pour une petite chipie qui tire la langue aux fâcheux. Ce n’est pas franchement du porno chic et ce type de danse suggestive  n’a rien d’érotique c’est même de très mauvais goût au milieu des nounours géants tirés de l’univers Disney Land mais c’est la marque une génération qui monte qui monte et se vend bien. L’Amérique est pudibonde certes mais elle est aussi très business business, money money, alors Disney revu et visité par Miley Cyrus, why not, même si ce n’est pas ma tasse de thé.

Léonardo, la loose continue

Samedi 8 mars 2014

Comme chaque année à la fin février la nuit après celle des Césars a lieu la prestigieuse remise des Oscars à Los Angeles.

Comment imaginer à l’ouverture de la 86e Cérémonie  que la première fut présidée par Douglas Fairbanks le 16 mai 1929 à l’Hollywood Roosevelt Hôtel et n’avait réuni que 270 personnes.

C’est l’occasion rêvée pour le tout Hollywood de se congratuler en distribuant les précieuses statuettes aux dernières coqueluches du gotha cinématographique hollywoodien. C’est comme cela que  la toute jeune et magnifique Lupita Nyong’o, Kenyane de 31 ans,  fut la 6e femme noire à âtre sacrée par ses pères comme meilleure second rôle féminin dans 12 Years a Slave, Oscar du Meilleur film et du meilleur scénario 2014,  de Steve Mc Queen II. On se souvient encore des larmes de  Hall Berry qui en 2002 avait reçu l’Oscar de la meilleure actrice pour son magnifique jeu dans,  À l’ombre de la haine de Marc Foster. Cette année c’est une première historique que deux noirs soient oscarisés, faut-il voir par là l’effet Obama ?

Le film Gravity n’a pas tout raflé comme prévu mais a tout de même reçu 7 Oscars,dont l’Oscar du meilleur réalisateur pour Alfonso Cuarón, excusez du peu.

La sublime Cate Blanchett a remporté l’Oscar de la meilleure actrice 2014.

Quand au meilleur acteur ce ne fut pas encore une fois Leonardo di Caprio mais Matthew McConaughey pour sa prestation très acteur studio dans Dallas Buyer Club.

Décidément c’est pour Leonardo le 5e rendez-vous avec la statuette raté, la loose continue.

Grandeur et décadence

Vendredi 7 mars 2014

Nouvelle et sale affaire pour l’UMP,  décidément les révélations se suivent et se ressemblent. Il n’est jamais bon de regarder dans les coulisses du pouvoir quel qu’il soit. Jalousies, croche-pieds, trahisons,  sont le quotidien de la vie politique, mais pas que. Il faut dire que l’ancien conseiller de Nicolas Sarkozy a fait très fort. On sait bien que tout le monde fait des dossiers sur tout le monde en guise de contre-poison de pare-feu en cas d’affaire, mais là c’est de l’ordre de la mauvaise manie, de la pathologie..

Dans ce monde de requins, chacun tient chacun en respect, comme l’a fait et le fait encore Charles Pasqua pour échapper à ses multiples casseroles. Mais dans l’affaire Buisson, il n’y a plus de code de l’honneur, c’est mettre à jour les coulisses de l’horreur. L’ensemble de ces enregistrements réalisés à l’insu du Président de la République en fonction est  un acte de haute trahison  qui en d’autres temps et surtout d’autres lieux aurait fini face à un peloton d’exécution. Le plus surprenant dans cette affaire, c’est comment ses enregistrements ont bien pu finir entre les mains de la presse. Ce n’est plus l’arroseur arrosé, mais le traitre trahi. Tout est affaire de déontologie, dans le milieu politique la trahison est un arc de vivre et surtout de tuer. L’ère Sarkozy a affaibli considérablement l’image du chef de l’État, cet homme qui n’est pas ordinaire compte tenu de ses fonctions n’en déplaise à François Hollande. Sa vie privée est jetée en pâture à la face de l’opinion publique et maintenant on entend  le mépris que cet ex Président et  sa compagne ont pour le peuple c’est qui se lève tôt pour gagner de moins en moins. Quel respect peut-on avoir pour ces fourbes ces suffisants, politiques ou conseillers …tout ces gens qui professionnalise la trahison ordinaire pour se faire élire. Nous copions le modèle anglo-saxon  en tout, c’est à vomir.

Les bleus continuent à nous faire rêver

Jeudi 6 mars 2014

Le match amical France Pays-bas était bien entendu un test très important avant la coupe du monde qui est maintenant dans moins de 100 jours. Il s’agissait de savoir si le match retour contre l’Ukraine n’était qu’un épi phénomène ou pas. Le début du match nous laisse un peu sur notre faim quand nous voyons les néerlandais jouer le ballon et nous en priver durant de longues minutes. Mais très rapidement quelques incursions dans le camp des oranges déstabilise totalement leur défense. Le douzième joueur  des bleus joue bien évidement un rôle primordial avec ses 80 000 fans au sein d’un stade de France majoritairement tricolore. La confiance reprend ses droits et  le pilonnage des cages du portier néerlandais commence.

Après un but refusé, Karim Benzema en grande forme troue les défense et marque à la 31 e minute et nous offre pour sa 65e sélection un 19e but. Les tricolores nous offrent alors un beau spectacle à l’instar du but acrobatique d’un Blaise Matuidi omniprésent à tous les niveaux. Au terme de la première mi-temps la France mène déjà 2  à 0. Ce sera du reste le score final, et les français battent des néerlandais impuissants. C’est  pour les Pays-bas la première défaite depuis un an et demi et quelques 17 matchs.

Sans vouloir crier au miracle ou cocorico, l’équipe sélectionnée par Didier Deschamps qui fait confiance à la jeunesse comme Lucas Digne, 20 ans, et Antoine Griezmann, 22 ans, qui se comportent  de la  meilleure manière qui soit. Maintenant tout cela reste à confirmer  une nouvelle fois contre la Norvège le 27 mai.

Victor Lanoux cède son pas de porte

Mercredi 5 mars 2014

Il faisait partie de l’espace visuel de plus de 6 millions de français durant les 16 ans qu’a duré son aventure dans la peau de Louis Romain. Mais voilà tout à une fin même pour les éléphants des téléfilms franchouillards. Depuis 1998 et tout au long des 14 épisodes Victor Lanoux acteur trop peu utilisé au cinéma a incarné Louis la Brocante. Mais voilà il n’est plus en phase avec son personnage qui est censé avoir 60 ans alors qu’il a 78 ans.On peut s’en réjouir, parce que ce fils de juif tunisien vaut mieux que ça. Il m’avait ravi dans le superbe film de Jean-Charles Tacchela Cousin Cousine, et m’avait donné envie de vomir tellement il la véracité de son jeu était fort dans Dupont la joie ce film remarquable de Yves Boisset, et tout cela en 1975. Il s’était commis dans la brocante, il faut bien vivre, mais bon, comment s’expliquer que c’est ce rôle qui l’a rendu visible au grand public ?

Le voilà donc dorénavant au panthéon des reconvertis de la télévision auprès de Navarro et Julie Lescaut. C’est à croire qu’un vent de sagesse vient de souffler sur lui et comme il ne cessera pas de tourner, fasse qu’on lui offre quelques beaux rôles au cinéma, merci.

Le Point fait écoper le président de l’UMP qui prend l’eau

Mardi 4 mars 2014


Sa riposte est convenue. L’avocat entre en un long réquisitoire devenant à terme procureur et faisant le procès de la presse qui ose l’embêter. Il se la joue Président qui convoque la presse pour  lui remonter les bretelles. Il geint, se victimise et nous expliquer qu’on a commis le crime de les majesté en le trainant dans la boue avec des procédés digne de l’inquisition, lui l’homme intègre qui se met en défenseur de la transparence, tout en nous embrouillant pour ne pas répondre à ce qui lui ai demandé.

Sans jamais le nommer les qualificatifs comme “Tartuffe, bouffi d’orgueil”claque à l’encontre de Franz Olivier Giesberg.

Quant à Etienne Gernelle directeur de l’hebdomadaire le Point, ce dernier se dit mari de n’avoir pas eu de réponse digne de ce nom . Il précise par ailleurs que depuis que le journal le Point est né en 1972, ces membres n’ont servi la soupe à personne et le rôle d’une presse indépendante et faire un travail d’enquête sur les pouvoirs quels qu’ils soient, de droite ou de gauche. Par ailleurs, l’enquête continue et les publications avec si c’est nécessaire. Maintenant il s’agit que Mr Copé en prenne acte.

Voilà une affaire qui est du pain béni pour François Fillon, et si l’on avait un mauvais esprit on pourrait croire que l’info qu’a exploitée l’hebdo le Point pourrait venir de l’UMP lui même. Il faut dire que François Fillon avait déjà eu maille à partir avec la roublardise de Mr Copé lors des premières primaires de l’UMP, où les candidats c’étaient comporté comme des primates basiques. A quelques jours des municipales voilà un bien sale coup à nouveau pour l’UMP qui décidément sans Naboléon Sarkozi s’entredéchire en permanence. Cela rappelle bien entendu la guerre des roses et les barrissements perpétuels des éléphants du PS. Vive la politique libre de ces professionnels de l’embrouille. On peut toujours rêver…

Mr Alain Resnais tire le rideau entre Césars et Oscars

Lundi 3 mars 2014

Il y a quelques années déjà que sa silhouette dégingandée m’avait inspiré cette caricature d’un grand monsieur du 7e art. Parce sa façon d’être ,l’originalité de son approche cinématographique a élevé cette industrie au rang d’Art. La prestance et le regard vif, l’oeil humide et enjoué pour son clan, il savait être distingué naturellement. Mourir le lendemain des Césars qui l’ont fêté 5 fois et la veille des Oscars, que peut-on rêver de mieux  pour un homme de son envergure. Peu importe tout ce qu’il a fait, une chose est certaine le Cinéma français vient de perdre un de ses grands metteur en scène comme le furent  Demy, Pialat, Truffaut ou Rohmer pour ne citer qu’eux. Il était parmi les cinéastes que la jeune génération honnissait, lui si jeune d’esprit,  parce que son cinéma était trop français, c’est à dire trop théâtral, pas assez américanisé, sans effets spéciaux ou trop intello.

Il était à lui seul un morceau de l’exception française, celle que des grands metteurs en scène outre atlantique, comme Tarantino, adore, en disant autant qu’il le peut que les français sont de grands cinéphiles, un constat auquel faut il peut être mettre un bémol en ce qui concerne la nouvelle génération très mondialisée déjà. J’avais vu Nuit et brouillards et je ne m’en suis jamais remis…mais lui ci, il n’a jamais cessé d’être créatif ce touche à tout n’avait qu’un objectif, innover…Ce grand enfant passionné de 91 vient de nous quitter et laissera un trou dans la toile qui jamais au grand jamais ne se refermera, adieu Mr Alain Resnais.

En Kate pour LUI

Dimanche 2 mars 2014

J’ai acheté sans avoir les mains moites en toute effronterie le dernier Lui à la face du monde, quel progrès c’est à croire qu’en vieillissant on se bonifie. Il faut dire que la couv ou trônait Kate Moss m’avait interpellé.

. A 40 ans Kate Moss exhibe l’insolence de sa quarantaine flamboyante, une exclu pour Lui clame l’édito « Sympathy for the Brindille » où Frédéric Beigbeder nous en met plein la vue en disant qu’il l’a rencontrée pas moins de plein de fois. Rencontre certes mais pas avec n’importe qui et n’importe où. En Thaïlande,  dans la villa d’un milliardaire russe, au mariage du directeur de la publication du magazine Lui, et il rajoute excusez du peu, « depuis je l’ai revue souvent », sic. Il parle bien entendu de cette bombe de 1,67m  typiquement brithish qui nous fait crier du fond de notre maison de retraite : « A nous les petites anglaises ». L’article, « fille de couverture » à la page inconnue, nous explique que tout n’est que rencontres dans la vie,  on se serait presque douté. Mais ce fut le cas pour elle et tant mieux pour nous. Kate  dès ses 14 ans croise l’agent des mannequins Sarah Doukas. La « brindille va naître » et son fan club avec.

De la couverture 3e de couverture Kate habille ce 5e Lui, de sa blondeur explosive avec un corps de femme qui lui va si bien.

Je déplore une place plus que tenue réservée au dessin dans Lui, alors que Mr Beigberder pleure la disparition d’Alain Aslan, le dessinateur de pin up…Ce magazine dans sa version ancienne a fait vivre et connaître tant de talents qui meurent aujourd’hui, comme l’ami Barbe, non cité, passé à la trappe par la presse actuelle.

Mais je découvre que La Louise, la Bourgoin de la tv et du ciné fait sa page, non sans humour, cette nana aurait-elle tous les talents où connaîtrait-elle tout le monde de la nuit parisienne chébran?

Est-ce un hasard si page 68 on trouve quelques « conseils pour faire de sa garde à vue un moment agréable ». Frédéric B, se paye le luxe de témoigner et revenir sur sa nuit surréaliste au commissariat du 8e qui  a priori a du mal à passer, mais on peut comprendre. Page 72 c’est au tour du frangin Charles qui se commet en politique…Lui serait-il une affaire de famille ?

Non pas seulement, c’est  aussi un beau magazine soigné, manquant de délire graphique certes et ayant fait le choix éditorial d’une belle photo classieuse  pour des bobos parisiens …Sans Paris point de salut semble nous crier cette 5e parution. C’est le journal des amis des amis pour les amis des amis des amis. Mais vraiment Kate en Lui pour Lui et  par Lui c’est un coup de maître. J’ai adoré les trois couv c’est un délice…de la voir la brindille du haut de ses 40ans recto verso, à faire pâlir bien des minettes sur le marché…